Anadarko : 3,7 milliards de dollars investis en Algérie
Anadarko a participé au Salon, organisé simultanément avec la 10ème conférence sur le négoce et financement du pétrole et du gaz, clôturé mercredi dernier à l’hôtel El Aurassi. Des relations solides la lient au groupe Sonatrach. Elle produit en Algérie 450 000 barils de brut par jour, un volume qui fait de la compagnie américaine l’un des grands producteurs étrangers en Algérie. Anadarko est fortement implantée dans le bassin de Bekine. En 1998, Sonatrach et Anadarko ont créé le groupement Berkine. Comme l’expliquent ses responsables, Anadarko est l’une des rares compagnies à avoir basé la totalité de son équipe de sub-surface en Algérie.
Depuis le début de ses opérations de forage, en 1991, elle a découvert quinze gisements contenant plus de deux milliards de dollars de barils d’huile. Elle a investi déjà 3,7 milliards de dollars en Algérie. Anadarko souligne qu’elle s’est toujours assurée qu’une partie des richesses générées par ses projets était réinvestie localement au profit des Algériens, dégageant une croissance économique sous forme d’emplois, d’infrastructures et de demandes de service. La compagnie américaine estime dans un autre registre que ses investissements sont aussi importants : elle a fourni des équipements à des écoles, à des hôpitaux et créé des centres de formation.
Présente dans un ensemble de pays, Anadarko, soulignent ses responsables, est toujours à la recherche de projets à large volume et de fort impact dans des régions aussi diverses que le golfe du Mexique, l’Indonésie ou le Qatar. La compagnie américaine s’est engagée dans un programme de plusieurs milliards de dollars étalé sur plusieurs années pour commissionner la construction d’un nouveau navire de forage en eau profonde et bloquer sous contrat plusieurs autres appareils de forage afin de garantir la disponibilité des équipements et services nécessaires au programme.
Dans le forage en mer, Anadarko mène un groupe de cinq compagnies pétrolières pour développer de nouveaux gisements de gaz naturel en eau ultra-profonde dans l’est du golfe du Mexique, une zone jusqu’alors inexploitée. Cette coopération entre sociétés a permis de démarrer le développement de ces gisements dans des délais record, note Anadarko. Lorsqu’elle entrera en service en 2007, l’installation centrale de production d’une valeur de deux milliards de dollars sera la plus profonde au monde, avec plus de deux mille quatre cents mètres d’eau. Elle aura une capacité de vingt-huit millions de mètres cubes de gaz naturel par jour et livrera la production de dix gisements. Ce gisement gigantesque est, selon la compagnie américaine, une entreprise multinationale, les activités de construction se partageant entre Singapour, la Norvège, la République tchèque et les Etats-Unis. Divers matériaux et équipements sont fabriqués dans d’autres pays. Dans ce projet, le système sous-marin du centre de production est le joyau de ce programme, avec plus de trois cent trente-huit kilomètres de canalisations transportant le gaz produit par seize puits vers le centre de traitement et d’exportation. Le système comprendra également cent quatre-vingt-treize kilomètres de câbles ombilicaux qui permettront de contrôler le comportement des puits, la pression et la température, et de transporter les produits chimiques.
Anadarko, notent ses responsables, a démontré sa puissance technologique avec la découverte et le développement de ressources restées jusqu’alors inexploitées à des profondeurs record dans le centre du golfe du Mexique.
La compagnie américaine souligne aussi qu’elle va pousser les limites de l’exploration vers des régions restées jusqu’à présent inexploitées, notamment dans les îles Féroé, en Tunisie, à Malte, en Géorgie, en Alaska et dans le delta de Mackenzie (Canada).
Techniquement, Anadarko observe qu’une bonne compréhension des systèmes pétroliers implique l’étude de la roche mère, de son âge de maturation, des chemins de migration des hydrocarbures, des caractéristiques, de la présence, de la distribution et de la qualité des réservoirs, des pièges et des propriétés d’étanchéité. Les techniciens d’Anadarko utilisent ces informations pour déterminer les meilleures opportunités de forage et maximiser le succès potentiel. La Tribune
Depuis le début de ses opérations de forage, en 1991, elle a découvert quinze gisements contenant plus de deux milliards de dollars de barils d’huile. Elle a investi déjà 3,7 milliards de dollars en Algérie. Anadarko souligne qu’elle s’est toujours assurée qu’une partie des richesses générées par ses projets était réinvestie localement au profit des Algériens, dégageant une croissance économique sous forme d’emplois, d’infrastructures et de demandes de service. La compagnie américaine estime dans un autre registre que ses investissements sont aussi importants : elle a fourni des équipements à des écoles, à des hôpitaux et créé des centres de formation.
Présente dans un ensemble de pays, Anadarko, soulignent ses responsables, est toujours à la recherche de projets à large volume et de fort impact dans des régions aussi diverses que le golfe du Mexique, l’Indonésie ou le Qatar. La compagnie américaine s’est engagée dans un programme de plusieurs milliards de dollars étalé sur plusieurs années pour commissionner la construction d’un nouveau navire de forage en eau profonde et bloquer sous contrat plusieurs autres appareils de forage afin de garantir la disponibilité des équipements et services nécessaires au programme.
Dans le forage en mer, Anadarko mène un groupe de cinq compagnies pétrolières pour développer de nouveaux gisements de gaz naturel en eau ultra-profonde dans l’est du golfe du Mexique, une zone jusqu’alors inexploitée. Cette coopération entre sociétés a permis de démarrer le développement de ces gisements dans des délais record, note Anadarko. Lorsqu’elle entrera en service en 2007, l’installation centrale de production d’une valeur de deux milliards de dollars sera la plus profonde au monde, avec plus de deux mille quatre cents mètres d’eau. Elle aura une capacité de vingt-huit millions de mètres cubes de gaz naturel par jour et livrera la production de dix gisements. Ce gisement gigantesque est, selon la compagnie américaine, une entreprise multinationale, les activités de construction se partageant entre Singapour, la Norvège, la République tchèque et les Etats-Unis. Divers matériaux et équipements sont fabriqués dans d’autres pays. Dans ce projet, le système sous-marin du centre de production est le joyau de ce programme, avec plus de trois cent trente-huit kilomètres de canalisations transportant le gaz produit par seize puits vers le centre de traitement et d’exportation. Le système comprendra également cent quatre-vingt-treize kilomètres de câbles ombilicaux qui permettront de contrôler le comportement des puits, la pression et la température, et de transporter les produits chimiques.
Anadarko, notent ses responsables, a démontré sa puissance technologique avec la découverte et le développement de ressources restées jusqu’alors inexploitées à des profondeurs record dans le centre du golfe du Mexique.
La compagnie américaine souligne aussi qu’elle va pousser les limites de l’exploration vers des régions restées jusqu’à présent inexploitées, notamment dans les îles Féroé, en Tunisie, à Malte, en Géorgie, en Alaska et dans le delta de Mackenzie (Canada).
Techniquement, Anadarko observe qu’une bonne compréhension des systèmes pétroliers implique l’étude de la roche mère, de son âge de maturation, des chemins de migration des hydrocarbures, des caractéristiques, de la présence, de la distribution et de la qualité des réservoirs, des pièges et des propriétés d’étanchéité. Les techniciens d’Anadarko utilisent ces informations pour déterminer les meilleures opportunités de forage et maximiser le succès potentiel. La Tribune
0 Comments:
Enregistrer un commentaire
<< Home