L’Algérie investira 3,2 milliards dans la nouvelle ville de Bouinan
La construction de la nouvelle ville de Bouinan coûtera à l’Algérie pas moins de 3,2 milliards de dollars selon l’agence sud-coréenne Yonhap basée à Séoul.
La construction de la nouvelle ville de Bouinan coûtera à l’Algérie pas moins de 3,2 milliards de dollars selon l’agence sud-coréenne Yonhap basée à Séoul.
« Le coût de la construction de la nouvelle ville de Bouinan est estimé entre 2,1 et 3,2 milliards de dollars », a fait savoir le ministère sud-coréen qui a indiqué que ce gigantesque chantier est censé sceller la coopération économique entre l’Algérie et la Corée du sud. Des entreprises de Corée du Sud ont été chargées de construire la nouvelle ville de Bouinan, suite à un accord conclu le 16 janvier dernier à Séoul par M. Chérif Rahmani, ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du territoire, et le président de la Koeran Land Corporation, Kim Jae-Hyun. L’accord avait été annoncé de source officielle algérienne mais sans que le montant du projet soit révélé. Séoul a souligné avoir offert la meilleure offre financière.
L’accord attribue à cinq consortiums sud-coréens chapeautés par la KLC pour la construction de ce nouveau centre urbain dépendant administrativement de la wilaya de Blida, a fait savoir le ministère sud-coréen de la Construction et du Transport. Les travaux devraient être lancés en juillet prochain pour en principe s’achever en 2011, a précisé le ministère. La signature de l’accord est intervenue suite à la visite en Algérie du président sud-coréen Roh Moo Hyun en mars 2006, souligne la même source. Il s‘agit de la plus importante accession d’entreprises sud-coréennes au marché algérien, entreprises également présentes dans des projets relevant des segments de l’industrie, des télécommunications de base, de la pétrochimie, de la défense, des énergies et des minéraux.
La nouvelle agglomération de Bouinan, appelée à devenir un pole économique et universitaire, s’ajoute aux deux autres projets de même type en cours de réalisation à Sidi Abdallah (Alger), d’une superficie de 1 800 ha, et à Boughezoul (Médéa), sur une zone de 1 750 ha. Inscrit depuis plusieurs années, le projet de Bouinan, plus modeste en termes de superficie, est resté dans les tiroirs jusqu’à ce que le gouvernement décide, en novembre dernier, de le relancer de manière sérieuse. Les trois projets sont placés sous la tutelle du ministère de l’Aménagement du territoire avec un suivi régulier de la présidence de la République et des services du chef du gouvernement. La nouvelle ville sera construite sur un périmètre de 350 hectares appelé à recevoir principalement des infrastructures de télécommunications, des infrastructures routières et ferroviaires, des équipements administratifs, des habitations et divers équipements collectifs.
D’après le Jeune Indépendant.
L’accord attribue à cinq consortiums sud-coréens chapeautés par la KLC pour la construction de ce nouveau centre urbain dépendant administrativement de la wilaya de Blida, a fait savoir le ministère sud-coréen de la Construction et du Transport. Les travaux devraient être lancés en juillet prochain pour en principe s’achever en 2011, a précisé le ministère. La signature de l’accord est intervenue suite à la visite en Algérie du président sud-coréen Roh Moo Hyun en mars 2006, souligne la même source. Il s‘agit de la plus importante accession d’entreprises sud-coréennes au marché algérien, entreprises également présentes dans des projets relevant des segments de l’industrie, des télécommunications de base, de la pétrochimie, de la défense, des énergies et des minéraux.
La nouvelle agglomération de Bouinan, appelée à devenir un pole économique et universitaire, s’ajoute aux deux autres projets de même type en cours de réalisation à Sidi Abdallah (Alger), d’une superficie de 1 800 ha, et à Boughezoul (Médéa), sur une zone de 1 750 ha. Inscrit depuis plusieurs années, le projet de Bouinan, plus modeste en termes de superficie, est resté dans les tiroirs jusqu’à ce que le gouvernement décide, en novembre dernier, de le relancer de manière sérieuse. Les trois projets sont placés sous la tutelle du ministère de l’Aménagement du territoire avec un suivi régulier de la présidence de la République et des services du chef du gouvernement. La nouvelle ville sera construite sur un périmètre de 350 hectares appelé à recevoir principalement des infrastructures de télécommunications, des infrastructures routières et ferroviaires, des équipements administratifs, des habitations et divers équipements collectifs.
D’après le Jeune Indépendant.
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