Sur fond de développement de l'activité d'audit et de conseils Deloitte s'installe en Algérie
Deloitte s'installe en Algérie. Signe d'une économie qui se met à la culture de l'expertise et de l'audit, ce cabinet international a jugé opportun de créer une entité de droit algérien. Deloitte Algérie - c'est son nom - sera officiellement lancé le 12 mai à Alger en présence de Jean-Paul Picard, patron de Deloitte France. Le cabinet prendra ses quartiers à l'hôtel Hilton, au coeur des Pins maritimes. Là où, à longueur d'année, des entreprises algériennes et étrangères et des hommes d'affaires de tous horizons se rencontrent le temps des foires et salons professionnels. Articulé autour d'une somme de sociétés nationales, le label Deloitte est l'un des leaders mondiaux dans les domaines du conseil, de l'audit et de l'expertise et de l'ingénierie. L'an dernier, son chiffre d'affaires à l'échelle planétaire a atteint les 20 milliards de dollars, en hausse de 11,5%. A l'origine de l'entité Algérie, Deloitte France a généré un chiffre d'affaires de 471 millions d'euros, en croissance de près de 11%. En faisant le choix de l'Algérie, Deloitte ne débarque pas en terre inconnue. Depuis des années, ses équipes s'y succèdent à la demande d'entreprises algériennes et étrangères. Le cabinet intervient déjà auprès de grandes entreprises nationales comme la Sonatrach, la Sonelgaz, la Banque extérieure d'Algérie. La privatisation constitue l'un des champs de prédilection de son carnet de commandes algérien. «Nous intervenons aussi bien au service de vendeurs d'entreprises que d'acquéreurs», précise-t-on à Deloitte France. L'audit, la formation et l'expertise financière figurent au premier rang des services assurés aux clients algériens.
Après deux ans d'activités à distance, Deloitte est arrivé à la conviction que la mise sur pied d'une entité algérienne était plus que jamais opportune. Des discussions ont eu lieu à ce sujet entre le cabinet et une société algérienne de conseils dirigée par Saïd Kdyem, un commissaire aux comptes. Très rapidement, l'idée de création de Deloitte Algérie s'est imposée, indique-t-on à Deloitte France. «Le potentiel de l'économie algérienne est constamment en hausse. Les besoins en conseils, audits et expertises sont énormes», explique au Quotidien d'Oran Gilles Gauttier, directeur opérationnel de Deloitte Algérie. «Chaque jour, nous sommes sollicités par des clients de tous acabits, des sociétés publiques et privées algériennes et des entreprises étrangères à l'oeuvre en Algérie», précise Gauttier, présent à Deloitte France depuis 27 ans. Avant même d'ouvrir ses bureaux, Deloitte Algérie revendique une clientèle potentielle et diversifiée. Les entreprises algériennes d'abord: soucieuses de «se mettre au diapason de la concurrence», elles sont de plus en plus nombreuses à recourir à l'audit et au conseil, note-t-on chez Deloitte France. Autre clientèle potentielle: les entreprises étrangères familières des services de Deloitte et désireuses de s'installer en Algérie. Ou encore les entreprises déjà présentes dans le pays qui sollicitent l'assistance et les conseils de Deloitte dans les domaines de la législation et de la réglementation algériennes. Dans un premier temps, l'entité fonctionnera avec une équipe opérationnelle d'une douzaine de personnes. S'y ajouteront les experts de Deloitte France qui, périodiquement, viendront en Algérie pour le suivi de projets. Partenaire au lancement, la société de Saïd Kdyem a vocation à devenir à terme associée dans Deloitte Algérie, croit-on savoir.
Pour asseoir sa ressource humaine, le cabinet compte s'appuyer sur des Algériens ou Franco-Algériens lauréats des grandes écoles. C'est une marque de fabrique à Deloitte France, une entreprise dont les effectifs se singularisent par la diversité des origines. 49 nationalités - dont l'algérienne - y sont représentées. Le quotidein d'Oran
Après deux ans d'activités à distance, Deloitte est arrivé à la conviction que la mise sur pied d'une entité algérienne était plus que jamais opportune. Des discussions ont eu lieu à ce sujet entre le cabinet et une société algérienne de conseils dirigée par Saïd Kdyem, un commissaire aux comptes. Très rapidement, l'idée de création de Deloitte Algérie s'est imposée, indique-t-on à Deloitte France. «Le potentiel de l'économie algérienne est constamment en hausse. Les besoins en conseils, audits et expertises sont énormes», explique au Quotidien d'Oran Gilles Gauttier, directeur opérationnel de Deloitte Algérie. «Chaque jour, nous sommes sollicités par des clients de tous acabits, des sociétés publiques et privées algériennes et des entreprises étrangères à l'oeuvre en Algérie», précise Gauttier, présent à Deloitte France depuis 27 ans. Avant même d'ouvrir ses bureaux, Deloitte Algérie revendique une clientèle potentielle et diversifiée. Les entreprises algériennes d'abord: soucieuses de «se mettre au diapason de la concurrence», elles sont de plus en plus nombreuses à recourir à l'audit et au conseil, note-t-on chez Deloitte France. Autre clientèle potentielle: les entreprises étrangères familières des services de Deloitte et désireuses de s'installer en Algérie. Ou encore les entreprises déjà présentes dans le pays qui sollicitent l'assistance et les conseils de Deloitte dans les domaines de la législation et de la réglementation algériennes. Dans un premier temps, l'entité fonctionnera avec une équipe opérationnelle d'une douzaine de personnes. S'y ajouteront les experts de Deloitte France qui, périodiquement, viendront en Algérie pour le suivi de projets. Partenaire au lancement, la société de Saïd Kdyem a vocation à devenir à terme associée dans Deloitte Algérie, croit-on savoir.
Pour asseoir sa ressource humaine, le cabinet compte s'appuyer sur des Algériens ou Franco-Algériens lauréats des grandes écoles. C'est une marque de fabrique à Deloitte France, une entreprise dont les effectifs se singularisent par la diversité des origines. 49 nationalités - dont l'algérienne - y sont représentées. Le quotidein d'Oran
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