CEVITAL: Profil d'un conglomérat privé en perspective.
- Le groupe privé a investi près de 400 millions de dollars en 2005.
- Mise en service de l’unité de verre plat en août 2006.
Le groupe Cevital prévoit de réaliser, selon M. Issad Rebrab, P-DG du groupe, trois unités de production de verre plat d’une capacité de 760 000 tonnes/an. La première unité de production de verre plat en cours de réalisation à Larbaâ dispose, indique M. Rebrab, d’une capacité de 600 tonnes/jour, couvrira les besoins du marché national en verre plat et dégagera 75% de la production à l’exportation. La sortie du premier verre est prévue en août 2006, dira-t-il. La deuxième unité, d’une capacité de 700 tonnes/jour, sera opérationnelle en 2007. La troisième unité d’une capacité de 900 tonnes/jour entrera en service en 2009. Le patron de Cevital a souligné que “l’une des unités de production va être destinée à la fabrication de verre pour les serres agricoles”, tout en précisant dans la foulée que “ces unités permettront, aussi, de développer d’autres produits tels que le verre automobile, le verre miroir et le verre industriel”. Ce projet permettra de réduire, confie M. Rebrab, le prix du verre industriel cédé, actuellement, à 30 000 DA/m2 pour le ramener à moins de 500 DA/m2.
Ce projet sera réalisé en partenariat avec la société chinoise CLFG qui assurera la formation et le transfert technologique aux cadres de Cevital. Le montant de ce projet est évalué à 180 millions de dollars dont 60 millions de dollars pour la réalisation de la première unité de production sise à Larbaâ. Le financement du projet est assuré, affirme M. Rebrab, sur fonds propres à hauteur de 75% et le reste, soit 25% ,via des crédits bancaires. Une fois ce projet achevé, l’Algérie deviendra, a-t-il rappelé, le 12e producteur mondial de verre plat.
Le groupe Cevital a obtenu un financement extérieur en “risque corporate” d’une banque étrangère pour financer l’un de ces projets industriels, révèle-t-il. Son groupe n’a, aujourd’hui, aucun découvert bancaire, soutient-il.
Il envisage de réaliser également 15 projets industriels d’ici 2010 dont trois unités de bâtiments préfabriqués à Alger, Oran et Sétif d’une capacité de 2 500 m2/jour chacune, ainsi qu’une unité de production d’eau minérale d’une capacité de 3 millions de bouteilles/jour.
Le premier responsable de Cevital a évoqué, par ailleurs, 4 projets industriels bloqués, à savoir l’unité de trituration des graines oléagineuses d’une capacité de 2,5 millions de tonnes/an, l’extension de la raffinerie du sucre pour atteindre 1,6 million de tonnes/an en 2007 dont 900 000 tonnes destinées à l’exportation, l’unité de cogénération électrique d’une capacité de 50 mégawatts et une unité d’aliment de bétail d’une capacité de 750 000 tonnes/an.
Pour M. Rebrab, “l’unité de trituration des graines oléagineuses et l’extension de la raffinerie du sucre permettront de doubler le montant des exportations hors hydrocarbures du pays puisque l’excédent dégagé par ces deux unités, soit 900 000 tonnes/an du sucre et les produits issus de la trituration, vont générer des recettes export respectivement de 400 et 445 millions de dollars”. Ce qui représente un total de 845 millions de dollars par an d’exportations. Ces projets bloqués vont créer 3 000 emplois directs.
Le groupe Cevital a investi, ajoute M. Rebrab, 28,9 milliards de DA en 2005, soit près de 400 millions de dollars. Il a enregistré un chiffre d’affaires de 43,4 milliards de DA en 2005 contre 3,2 milliards de DA en 1999, soit une croissance en moyenne de 50%. Il prévoit d’atteindre un chiffre d’affaires de 159,5 milliards de DA, soit plus de 2 milliards de dollars en 2010 et la création de 50 000 emplois directs dont 40 000 emplois dans la grande distribution. La contribution de Cevital au budget de l’État est estimé à 10 milliards de DA en 2005 contre 1 milliard de DA en 1999, explique M. Rebrab.
Ce projet sera réalisé en partenariat avec la société chinoise CLFG qui assurera la formation et le transfert technologique aux cadres de Cevital. Le montant de ce projet est évalué à 180 millions de dollars dont 60 millions de dollars pour la réalisation de la première unité de production sise à Larbaâ. Le financement du projet est assuré, affirme M. Rebrab, sur fonds propres à hauteur de 75% et le reste, soit 25% ,via des crédits bancaires. Une fois ce projet achevé, l’Algérie deviendra, a-t-il rappelé, le 12e producteur mondial de verre plat.
Le groupe Cevital a obtenu un financement extérieur en “risque corporate” d’une banque étrangère pour financer l’un de ces projets industriels, révèle-t-il. Son groupe n’a, aujourd’hui, aucun découvert bancaire, soutient-il.
Il envisage de réaliser également 15 projets industriels d’ici 2010 dont trois unités de bâtiments préfabriqués à Alger, Oran et Sétif d’une capacité de 2 500 m2/jour chacune, ainsi qu’une unité de production d’eau minérale d’une capacité de 3 millions de bouteilles/jour.
Le premier responsable de Cevital a évoqué, par ailleurs, 4 projets industriels bloqués, à savoir l’unité de trituration des graines oléagineuses d’une capacité de 2,5 millions de tonnes/an, l’extension de la raffinerie du sucre pour atteindre 1,6 million de tonnes/an en 2007 dont 900 000 tonnes destinées à l’exportation, l’unité de cogénération électrique d’une capacité de 50 mégawatts et une unité d’aliment de bétail d’une capacité de 750 000 tonnes/an.
Pour M. Rebrab, “l’unité de trituration des graines oléagineuses et l’extension de la raffinerie du sucre permettront de doubler le montant des exportations hors hydrocarbures du pays puisque l’excédent dégagé par ces deux unités, soit 900 000 tonnes/an du sucre et les produits issus de la trituration, vont générer des recettes export respectivement de 400 et 445 millions de dollars”. Ce qui représente un total de 845 millions de dollars par an d’exportations. Ces projets bloqués vont créer 3 000 emplois directs.
Le groupe Cevital a investi, ajoute M. Rebrab, 28,9 milliards de DA en 2005, soit près de 400 millions de dollars. Il a enregistré un chiffre d’affaires de 43,4 milliards de DA en 2005 contre 3,2 milliards de DA en 1999, soit une croissance en moyenne de 50%. Il prévoit d’atteindre un chiffre d’affaires de 159,5 milliards de DA, soit plus de 2 milliards de dollars en 2010 et la création de 50 000 emplois directs dont 40 000 emplois dans la grande distribution. La contribution de Cevital au budget de l’État est estimé à 10 milliards de DA en 2005 contre 1 milliard de DA en 1999, explique M. Rebrab.
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