Deux soumissionnaires pour le téléphérique de Constantine
C’est aujourd’hui que seront ouverts officiellement les plis pour le choix de la société qui sera chargée des travaux du téléphérique de Constantine. Seules deux sociétés étrangères se sont portées candidates. Il s’agit de Garavanta, une société austro-helvétique, et Pomagalski, une entreprise française.
Le projet contient deux tronçons bien distincts. Le premier, qui part de la rue Tatache (ex-rue Thiers), ralliera le centre hospitalo-universitaire et sera long de 425 mètres. Le second, plus important, ralliera ce même CHU à la cité Emir Abdelkader (ex-faubourg Lamy) et sera long de 1.091 mètres.
L’une ou l’autre de ces deux sociétés, si elles venaient à être retenues, sera dans l’obligation de terminer les travaux dans les délais impartis et devra se charger de la formation de techniciens et d’agents d’exploitation spécialisés dans ce domaine spécifique des téléphériques.
Le téléphérique devrait permettre à des centaines, voire à des milliers d’usagers d’emprunter un moyen commode, rapide et non polluant. Constantine étouffe littéralement avec le flux quotidien des habitants de la périphérie. Ce flux a besoin d’être organisé et le téléphérique contribuera à une certaine régulation dans des conditions idéales. Avec l’avènement tant attendu par certains et décrié par d’autres du tramway (et son enveloppe de 1.800 milliards de centimes), et l’ouverture de l’ascenseur de Sidi M’cid, on pourrait, dans quelques années, et si tout va bien, dire que Constantine aura relativement gagné son pari et réglé son immense problème de la circulation au centre-ville.
Pour l’instant, le coeur de la cité, en dépit des efforts louables d’agents de la circulation mobilisés en permanence, n’arrive toujours pas à trouver cette fluidité souhaitée, et qui pour l’instant demeure une utopie au vu de la topographie tout à fait spéciale de la ville des ponts. LE QUOTIDIEN D'ORAN
Le projet contient deux tronçons bien distincts. Le premier, qui part de la rue Tatache (ex-rue Thiers), ralliera le centre hospitalo-universitaire et sera long de 425 mètres. Le second, plus important, ralliera ce même CHU à la cité Emir Abdelkader (ex-faubourg Lamy) et sera long de 1.091 mètres.
L’une ou l’autre de ces deux sociétés, si elles venaient à être retenues, sera dans l’obligation de terminer les travaux dans les délais impartis et devra se charger de la formation de techniciens et d’agents d’exploitation spécialisés dans ce domaine spécifique des téléphériques.
Le téléphérique devrait permettre à des centaines, voire à des milliers d’usagers d’emprunter un moyen commode, rapide et non polluant. Constantine étouffe littéralement avec le flux quotidien des habitants de la périphérie. Ce flux a besoin d’être organisé et le téléphérique contribuera à une certaine régulation dans des conditions idéales. Avec l’avènement tant attendu par certains et décrié par d’autres du tramway (et son enveloppe de 1.800 milliards de centimes), et l’ouverture de l’ascenseur de Sidi M’cid, on pourrait, dans quelques années, et si tout va bien, dire que Constantine aura relativement gagné son pari et réglé son immense problème de la circulation au centre-ville.
Pour l’instant, le coeur de la cité, en dépit des efforts louables d’agents de la circulation mobilisés en permanence, n’arrive toujours pas à trouver cette fluidité souhaitée, et qui pour l’instant demeure une utopie au vu de la topographie tout à fait spéciale de la ville des ponts. LE QUOTIDIEN D'ORAN
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