Ouverture du capital d’Algérie Télécom: British Telecom s’y intéresse
Le conseil d’administration de l’opérateur British Telecom a approuvé dernièrement, indique M. Arslan Chikhaoui, expert des questions stratégiques et proche des milieux d’affaires britanniques, la décision portant création d’un centre de formation dans les nouvelles technologies de l’information en Algérie. Ce centre de formation sera financé, indique M. Chikhaoui, par British Telecom. Il sera réalisé probablement au courant de l’année 2007 au niveau du cyberparc de Sidi-Abdellah sis à l’ouest d’Alger, précise-t-il. La décision de créer ce centre a été annoncée, selon lui, lors de la visite de travail effectuée en juin dernier à Alger par Lady Olga Matland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande-Bretagne et Commonwealth, accompagnée d’une délégation de British Telecom. Pour M. Chikhaoui, “les responsables de British Telecom considèrent que l’Algérie est un nouveau marché émergent en termes d’ancrage des technologies du 21e siècle”, en indiquant que “la Grande-Bretagne a amélioré son appréciation du risque Algérie, comparativement aux dernières année”. Ces responsables suivent de très près l’évolution du marché algérien des télécommunications estimé, aujourd’hui, à plus de 5 milliards de dollars. Cette firme espère contribuer davantage au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie en apportant son savoir-faire technologique, précise M. Chikhaoui. Elle s’intéresse, aussi, à l’opération d’ouverture du capital de l’opérateur public Algérie Télécom. Une opération qui suscite l’intérêt de plusieurs opérateurs étrangers. L’opérateur anglais s’intéresse également à l’opération d’ouverture du capital de l’opérateur public Algérie Télécom. L’opérateur anglais propose actuellement plusieurs solutions, notamment en termes de téléphonie mobile sur Internet (VoIP) via son nouveau produit baptisé “Next Generation Network” et le nouveau système unifié de télécommunications, ajoute-t-il.
La firme internationale British Telecom est considérée, indique M. Chikhaoui, comme étant le deuxième plus grand opérateur mondial de télécommunications après le département de la Défense américain. Il emploie, actuellement, plus de 100 000 personnes dans le monde. Il a réalisé, soutient-il, un chiffre d’affaires de 250 milliards d’euros en 2004. Il totalise plus de 28 millions d’abonnés au réseau téléphonique mobile en Grande-Bretagne.
Il y a lieu de rappeler qu’une délégation de l’opérateur anglais British Telecom, conduite par Lady Olga Matland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande Bretagne et Commonwealth, a effectué, en juin dernier, une visite de travail à Alger. Cette délégation a rencontré plusieurs responsables algériens, dont le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, les dirigeants de l’opérateur public Algérie Télécom et les représentants de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). LIBERTE
Le conseil d’administration de l’opérateur British Telecom a approuvé dernièrement, indique M. Arslan Chikhaoui, expert des questions stratégiques et proche des milieux d’affaires britanniques, la décision portant création d’un centre de formation dans les nouvelles technologies de l’information en Algérie. Ce centre de formation sera financé, indique M. Chikhaoui, par British Telecom. Il sera réalisé probablement au courant de l’année 2007 au niveau du cyberparc de Sidi-Abdellah sis à l’ouest d’Alger, précise-t-il. La décision de créer ce centre a été annoncée, selon lui, lors de la visite de travail effectuée en juin dernier à Alger par Lady Olga Matland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande-Bretagne et Commonwealth, accompagnée d’une délégation de British Telecom. Pour M. Chikhaoui, “les responsables de British Telecom considèrent que l’Algérie est un nouveau marché émergent en termes d’ancrage des technologies du 21e siècle”, en indiquant que “la Grande-Bretagne a amélioré son appréciation du risque Algérie, comparativement aux dernières année”. Ces responsables suivent de très près l’évolution du marché algérien des télécommunications estimé, aujourd’hui, à plus de 5 milliards de dollars. Cette firme espère contribuer davantage au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie en apportant son savoir-faire technologique, précise M. Chikhaoui. Elle s’intéresse, aussi, à l’opération d’ouverture du capital de l’opérateur public Algérie Télécom. Une opération qui suscite l’intérêt de plusieurs opérateurs étrangers. L’opérateur anglais s’intéresse également à l’opération d’ouverture du capital de l’opérateur public Algérie Télécom. L’opérateur anglais propose actuellement plusieurs solutions, notamment en termes de téléphonie mobile sur Internet (VoIP) via son nouveau produit baptisé “Next Generation Network” et le nouveau système unifié de télécommunications, ajoute-t-il.
La firme internationale British Telecom est considérée, indique M. Chikhaoui, comme étant le deuxième plus grand opérateur mondial de télécommunications après le département de la Défense américain. Il emploie, actuellement, plus de 100 000 personnes dans le monde. Il a réalisé, soutient-il, un chiffre d’affaires de 250 milliards d’euros en 2004. Il totalise plus de 28 millions d’abonnés au réseau téléphonique mobile en Grande-Bretagne.
Il y a lieu de rappeler qu’une délégation de l’opérateur anglais British Telecom, conduite par Lady Olga Matland, présidente du conseil d’affaires Algérie-Grande Bretagne et Commonwealth, a effectué, en juin dernier, une visite de travail à Alger. Cette délégation a rencontré plusieurs responsables algériens, dont le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, les dirigeants de l’opérateur public Algérie Télécom et les représentants de l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT). LIBERTE
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