Chakib Khelil, ministre de l'Énergie et des Mines au quotidien Liberté: Le 7e appel d'offres fin 2006
L'Algérie devrait procéder au lancement du 7e appel d'offres pour l'attribution de nouveaux blocs d'exploration des hydrocarbures d'ici la fin de l'année 2006. Il sera le premier réalisé sous l'égide de la nouvelle loi sur les hydrocarbures.
C'est ce qu'a indiqué le ministre de l'Énergie et des Mines à Liberté en marge de la visite d'inspection du président de la République à Constantine. “Cela devrait se faire d'ici la fin de l'année. Nous avons actuellement beaucoup d'appels d'offres lancés pour le secteur”, a précisé Chakib Khelil. Ces appels d'offres concernent l'industrie pétrochimique, l'électricité ainsi que le dessalement. Il s'agit, pour le ministre, de mener à bien ces différents programmes. Le ministre n'a pas écarté que des blocs d'exploration, situés dans les Hauts-Plateaux et les steppes, soient inclus par l'Autorité de régulation. Quant au débat actuel, relatif au prix du gaz sur le marché international, Chakib Khelil a écarté l'idée d'une non-indexation du gaz sur le prix du baril du pétrole. “On ne peut pas sortir de manière artificielle le gaz du prix du pétrole. Les prix sont liés. S'il est inclus, c'est qu'il y a aujourd'hui une concurrence gaz, produits pétroliers, électricité. Le jour où ça ne sera plus lié, ce jour-là, il y aura une concurrence gaz-gaz. Mais, nous aurons à ce moment-là un marché saturé, notamment le marché européen”, a-t-il précisé. La création d'un marché du gazier est une éventualité assez éloignée, selon lui. “Ce jour-là n'est pas arrivé et il n'arrivera pas avant longtemps”, a affirmé le ministre de l'Énergie et des Mines. Il estime, par ailleurs, que les prix du gaz ne seraient pas pour autant plus importants s'ils n'étaient plus indexés sur les hydrocarbures. “Il y aura concurrence. Donc, il peut y avoir effondrement des prix du fait même de la concurrence”, a relevé Chakib Khelil.
C'est ce qu'a indiqué le ministre de l'Énergie et des Mines à Liberté en marge de la visite d'inspection du président de la République à Constantine. “Cela devrait se faire d'ici la fin de l'année. Nous avons actuellement beaucoup d'appels d'offres lancés pour le secteur”, a précisé Chakib Khelil. Ces appels d'offres concernent l'industrie pétrochimique, l'électricité ainsi que le dessalement. Il s'agit, pour le ministre, de mener à bien ces différents programmes. Le ministre n'a pas écarté que des blocs d'exploration, situés dans les Hauts-Plateaux et les steppes, soient inclus par l'Autorité de régulation. Quant au débat actuel, relatif au prix du gaz sur le marché international, Chakib Khelil a écarté l'idée d'une non-indexation du gaz sur le prix du baril du pétrole. “On ne peut pas sortir de manière artificielle le gaz du prix du pétrole. Les prix sont liés. S'il est inclus, c'est qu'il y a aujourd'hui une concurrence gaz, produits pétroliers, électricité. Le jour où ça ne sera plus lié, ce jour-là, il y aura une concurrence gaz-gaz. Mais, nous aurons à ce moment-là un marché saturé, notamment le marché européen”, a-t-il précisé. La création d'un marché du gazier est une éventualité assez éloignée, selon lui. “Ce jour-là n'est pas arrivé et il n'arrivera pas avant longtemps”, a affirmé le ministre de l'Énergie et des Mines. Il estime, par ailleurs, que les prix du gaz ne seraient pas pour autant plus importants s'ils n'étaient plus indexés sur les hydrocarbures. “Il y aura concurrence. Donc, il peut y avoir effondrement des prix du fait même de la concurrence”, a relevé Chakib Khelil.
LIBERTE.
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