Les atouts du pays dans le Guide investir 2006 de KPMG L’Algérie, première puissance énergétique en Méditerranée
Il est prévu d’ici à 2009, 10 millions de nouveaux abonnés en matière de téléphonie mobile et 3 millions dans le fixe.
Le guide Investir en Algérie de l’année 2006, réalisé par le cabinet algérien de conseil et d’audit financier KPMG Algérie, qualifie l’Algérie de première puissance énergétique en Méditerranée. Dans l’espace méditerranéen, le pays est, indique le document, le premier producteur et exportateur de pétrole et de gaz.
Dans le paysage énergétique mondial, souligne le document, notre pays occupe la 15e place en matière de réserves pétrolières, le 18e rang dans la production et le 12e en exportation. En 2005, les capacités de raffinage de l’Algérie ont été estimées à 22 millions de tonnes/an. Les ressources prouvées en gaz naturel placent l’Algérie à la 5e place en production et à la 3e en exportation après la Russie et le Canada. “Compte tenu de ces chiffres, l’Algérie apparaît comme un véritable géant énergétique”, relève le guide.
Forte de 50% des réserves, de 48% de la production totale et de l’“impressionnant” taux de 94% des exportations de gaz naturel, notre pays, affirme KPMG Algérie, n’a pas de rival en Méditerranée. Le domaine minier de l’Algérie, évalué à 1,5 million de km2, demeure encore largement inexploité.
Ses réserves prouvées en hydrocarbures sont de l’ordre de 45 milliards de tonnes en équivalent pétrole. Dans un autre registre, le secteur des télécommunications est, indique le guide, en plein développement, mais il continuait à accuser un certain retard en 2005 par rapport aux pays voisins. Le secteur connaît, toutefois, depuis trois ans, des mutations considérables.
La loi de juillet 2000 a supprimé le monopole en séparant les activités d’exploitations de la poste de celles des télécommunications. Le taux de pénétration de la téléphonie enregistre un essor remarquable. La télédensité globale a augmenté de moins de 5% en 2002 à 34% en 2005. L’Algérie constitue actuellement, affirme KPMG Algérie, qui assure aussi l’accompagnement en investissement, le plus gros marché des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) de l’espace euro-méditérannéen. Un programme d’équipement important a été lancé.
Il s’agit d’un investissement de 10 millions de lignes de téléphonie mobile, de 3 millions de lignes fixes supplémentaires et d’environ 3 millions d’ordinateurs pour équiper des établissements éducatifs, des banques, des collectivités, des administrations et des foyers. Une enveloppe évaluée à 50 milliards de DA est également consacrée à cet effet et ce, dans le cadre du programme complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009.
Par ailleurs, les infrastructures de base, reconnaissent les concepteurs du guide, “sont à la dimension du territoire national, mais leur manque aussi”. Avec près de 104 000 km, le réseau routier algérien est le plus important du Maghreb avec un ratio de 3,7 km pour 1 000 habitants. LIBERTE
Le guide Investir en Algérie de l’année 2006, réalisé par le cabinet algérien de conseil et d’audit financier KPMG Algérie, qualifie l’Algérie de première puissance énergétique en Méditerranée. Dans l’espace méditerranéen, le pays est, indique le document, le premier producteur et exportateur de pétrole et de gaz.
Dans le paysage énergétique mondial, souligne le document, notre pays occupe la 15e place en matière de réserves pétrolières, le 18e rang dans la production et le 12e en exportation. En 2005, les capacités de raffinage de l’Algérie ont été estimées à 22 millions de tonnes/an. Les ressources prouvées en gaz naturel placent l’Algérie à la 5e place en production et à la 3e en exportation après la Russie et le Canada. “Compte tenu de ces chiffres, l’Algérie apparaît comme un véritable géant énergétique”, relève le guide.
Forte de 50% des réserves, de 48% de la production totale et de l’“impressionnant” taux de 94% des exportations de gaz naturel, notre pays, affirme KPMG Algérie, n’a pas de rival en Méditerranée. Le domaine minier de l’Algérie, évalué à 1,5 million de km2, demeure encore largement inexploité.
Ses réserves prouvées en hydrocarbures sont de l’ordre de 45 milliards de tonnes en équivalent pétrole. Dans un autre registre, le secteur des télécommunications est, indique le guide, en plein développement, mais il continuait à accuser un certain retard en 2005 par rapport aux pays voisins. Le secteur connaît, toutefois, depuis trois ans, des mutations considérables.
La loi de juillet 2000 a supprimé le monopole en séparant les activités d’exploitations de la poste de celles des télécommunications. Le taux de pénétration de la téléphonie enregistre un essor remarquable. La télédensité globale a augmenté de moins de 5% en 2002 à 34% en 2005. L’Algérie constitue actuellement, affirme KPMG Algérie, qui assure aussi l’accompagnement en investissement, le plus gros marché des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) de l’espace euro-méditérannéen. Un programme d’équipement important a été lancé.
Il s’agit d’un investissement de 10 millions de lignes de téléphonie mobile, de 3 millions de lignes fixes supplémentaires et d’environ 3 millions d’ordinateurs pour équiper des établissements éducatifs, des banques, des collectivités, des administrations et des foyers. Une enveloppe évaluée à 50 milliards de DA est également consacrée à cet effet et ce, dans le cadre du programme complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009.
Par ailleurs, les infrastructures de base, reconnaissent les concepteurs du guide, “sont à la dimension du territoire national, mais leur manque aussi”. Avec près de 104 000 km, le réseau routier algérien est le plus important du Maghreb avec un ratio de 3,7 km pour 1 000 habitants. LIBERTE
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