Lancement d'un ensemble hôtelier à Oran
A l'occasion du lancement de la réalisation de son ensemble hôtelier à Oran, qui intervient près de six mois après l'ouverture du «Royal Hôtel», un cinq étoiles, implanté au centre-ville, le Groupe Mehri et son partenaire le groupe hôtelier Accor ont présenté ce grand projet, mettant un «zoom» sur le prototype de l'hôtel Ibis, l'élément central de cet ensemble projeté sur le terrain de l'ex-Batior, sur le prolongement de Front de mer. La cérémonie de la pose de la première pierre devait avoir lieu sur le site du chantier, mais elle a été reportée en raison des violentes rafales de vents, ce qui a obligé les organisateurs à tenir la séance de présentation du projet à Royal Hôtel. En l'absence de Mehri Djillali, retenu ailleurs, c'est son premier partenaire Gérard Pelisson, premier président, cofondateur du Groupe Accor, qui s'est chargé de répondre aux questions des journalistes, tant celles relatives au futur hôtel Ibis d'Oran qu'à celles plus générales concernant les différents projets hôteliers à travers le territoire national, un gros investissement dépassant les 20 milliards de dinars pour lequel les deux groupes ont créé l'entreprise hôtelière «Sieha». Projeté sur une assiette de près de 3 hectares, l'ensemble hôtelier, qui est en phase d'étude, se compose d'un hôtel Ibis d'une capacité de 150 chambres, un deuxième hôtel grand standing «Hôtel Novotal», un centre d'affaires ainsi qu'un centre d'animation. Le produit Ibis est destiné à une clientèle moyenne, «les hommes d'affaires locaux», pour reprendre le vocable de Gérard Pelisson, un hôtel de catégorie 3 étoiles avec un prix qui tourne autour des 6.000 dinars la chambre, la nuitée. «Ibis est un produit qui correspond au meilleur rapport qualité/prix, offrant le maximum de confort au meilleur prix économique», plaide le premier président du Groupe Accor, qui possède un parc de 750 hôtels Ibis à travers le monde. Le Groupe Sieha projette de réaliser 24 hôtels en Algérie, dont les 2/3 sont de marque Ibis. Selon une première évaluation, le coût prévisionnel du méga-projet avoisine les 20 milliards de dinars, bien que Gérard Pelisson entrevoit l'augmentation du montant à débourser pour mettre au monde ces hôtels en raison des fluctuations du marché BTP algérien, notamment. Le coût a été calculé sur la base de 65.000 dinars la chambre, «un coût largement plus élevé qu'en Tunisie ou au Maroc, où le prix est 2 fois moins élevé», ajoute encore Gérard Pelisson. Deux hôtels Ibis sont en cours de réalisation à Alger et à Constantine et devront être réceptionnés respectivement en 2008 et 2009. Du reste, Gérard Pelisson, tout comme son associé Djillali Mehri, ne se fait pas de souci quant à la mitoyenneté de cet ensemble hôtelier avec le Sheraton d'Oran, à plus forte raison que ces deux hôtels s'adressent à deux clientèles différentes. Le quotidient d'Oran
A l'occasion du lancement de la réalisation de son ensemble hôtelier à Oran, qui intervient près de six mois après l'ouverture du «Royal Hôtel», un cinq étoiles, implanté au centre-ville, le Groupe Mehri et son partenaire le groupe hôtelier Accor ont présenté ce grand projet, mettant un «zoom» sur le prototype de l'hôtel Ibis, l'élément central de cet ensemble projeté sur le terrain de l'ex-Batior, sur le prolongement de Front de mer. La cérémonie de la pose de la première pierre devait avoir lieu sur le site du chantier, mais elle a été reportée en raison des violentes rafales de vents, ce qui a obligé les organisateurs à tenir la séance de présentation du projet à Royal Hôtel. En l'absence de Mehri Djillali, retenu ailleurs, c'est son premier partenaire Gérard Pelisson, premier président, cofondateur du Groupe Accor, qui s'est chargé de répondre aux questions des journalistes, tant celles relatives au futur hôtel Ibis d'Oran qu'à celles plus générales concernant les différents projets hôteliers à travers le territoire national, un gros investissement dépassant les 20 milliards de dinars pour lequel les deux groupes ont créé l'entreprise hôtelière «Sieha». Projeté sur une assiette de près de 3 hectares, l'ensemble hôtelier, qui est en phase d'étude, se compose d'un hôtel Ibis d'une capacité de 150 chambres, un deuxième hôtel grand standing «Hôtel Novotal», un centre d'affaires ainsi qu'un centre d'animation. Le produit Ibis est destiné à une clientèle moyenne, «les hommes d'affaires locaux», pour reprendre le vocable de Gérard Pelisson, un hôtel de catégorie 3 étoiles avec un prix qui tourne autour des 6.000 dinars la chambre, la nuitée. «Ibis est un produit qui correspond au meilleur rapport qualité/prix, offrant le maximum de confort au meilleur prix économique», plaide le premier président du Groupe Accor, qui possède un parc de 750 hôtels Ibis à travers le monde. Le Groupe Sieha projette de réaliser 24 hôtels en Algérie, dont les 2/3 sont de marque Ibis. Selon une première évaluation, le coût prévisionnel du méga-projet avoisine les 20 milliards de dinars, bien que Gérard Pelisson entrevoit l'augmentation du montant à débourser pour mettre au monde ces hôtels en raison des fluctuations du marché BTP algérien, notamment. Le coût a été calculé sur la base de 65.000 dinars la chambre, «un coût largement plus élevé qu'en Tunisie ou au Maroc, où le prix est 2 fois moins élevé», ajoute encore Gérard Pelisson. Deux hôtels Ibis sont en cours de réalisation à Alger et à Constantine et devront être réceptionnés respectivement en 2008 et 2009. Du reste, Gérard Pelisson, tout comme son associé Djillali Mehri, ne se fait pas de souci quant à la mitoyenneté de cet ensemble hôtelier avec le Sheraton d'Oran, à plus forte raison que ces deux hôtels s'adressent à deux clientèles différentes. Le quotidient d'Oran
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