Wind of change in Algeria

Google
 
Web algeria-reloaded.blogspot.com

dimanche 29 avril 2007

Tramway d'Alger: Voici une image inédite

Voici a quoi ressemblera le futur Tramway d'Alger; futuriste, design fluide, un vrai bijou téchnologique qui sortira bientot des ateliers d'Alsthom Transport filiale du géant français ALSTHOM.

vendredi 27 avril 2007

Algérie Télécom lance le Wimax En partenariat avec Galaxia Télécom

Algérie Télécom a annoncé Mardi (24 Avril 2007) au Sheraton Club des pins (Alger) le lancement de son projet Athir, un projet basé sur la technologie Wimax.
Projet en partenariat avec Galaxia Télécom, société canadienne par actions à capital public spécialisée dans l’innovation et la conduite des télécommunications à haut débit et mobiles.

L’investissement est de l’ordre de 40 millions de dollars US sur 3 ans (2007-2009). Le Wimax est un réseau « support » sans fil, équivalent dans ses caractéristiques fonctionnelles au réseau terrestre ADSL. Cette notion de « sans fil » apporte la rapidité et l’économie de déploiement, une réelle flexibilité, une qualité de service libérée des problèmes des réseaux terrestres. Plusieurs offres vont être progressivement proposées aux clients d’Algérie Télécom : les grands comptes et les PME, les administrations et les institutions ainsi que le grand public.

Les entreprises disposeront d’un service garanti (capacité dédiée) allant jusqu’à 10 Mbits à des tarifs moins chers de 30% par rapport aux offres actuelles du marché. Boudjemâa Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a affirmé : « A un moment où les innovations technologiques enregistrent des mutations effrénées et où les nouvelles acquisitions sont vite dépassées, ce lancement intervient comme une réponse à des préoccupations concrètes. » Comme à son habitude, il ne peut s’empêcher de céder à la tentation de donner des chiffres qui se veulent des indicateurs de progrès. Selon lui, « notre pays s’est hissé au deuxième rang des nations africaines qui comptent en matière des TIC, derrière l’Afrique du Sud ».

Dans la téléphonie fixe et mobile, la densité globale a dépassé les 73%. Les investissements directs étrangers (IDE) sont estimés à plus de 5 milliards de dollars US. Le secteur est un pourvoyeur d’emplois en passant de 40 000 employés à 200 000 actuellement. Il a annoncé que le dispositif Ousratic a été revu pour maintenir le cap et équiper 6 millions de ménages d’un PC. Robert W. Peck, ambassadeur du Canada en Algérie, a souligné : « Galaxia Télécom par la transmission du savoir et de sa technologie aidera à réduire la disparité causée par la fracture numérique en s’associant avec la grande entreprise algérienne qu’est Algérie Télécom.

Les solutions Wimax développées dans ce projet s’adaptent parfaitement à un grand pays comme l’Algérie : elles apportent un global Warming écologiquement fiable, contribuent considérablement à réduire l’isolement et ont un grand impact significatif sur le développement de la société. Le partage de l’expertise canadienne est toujours au coeur des relations algéro-canadiennes. » Le Canada fait partie des leaders en matière de développement des technologies de pointe comme l’aéronautique et les technologies de l’information.

Le Wimax sera déployé dans un premier temps à travers sept villes : Alger, Boumerdès, Blida, Oran, Annaba, Ouargla et Constantine. Elwatan

Sur fond de développement de l'activité d'audit et de conseils Deloitte s'installe en Algérie

Deloitte s'installe en Algérie. Signe d'une économie qui se met à la culture de l'expertise et de l'audit, ce cabinet international a jugé opportun de créer une entité de droit algérien. Deloitte Algérie - c'est son nom - sera officiellement lancé le 12 mai à Alger en présence de Jean-Paul Picard, patron de Deloitte France. Le cabinet prendra ses quartiers à l'hôtel Hilton, au coeur des Pins maritimes. Là où, à longueur d'année, des entreprises algériennes et étrangères et des hommes d'affaires de tous horizons se rencontrent le temps des foires et salons professionnels. Articulé autour d'une somme de sociétés nationales, le label Deloitte est l'un des leaders mondiaux dans les domaines du conseil, de l'audit et de l'expertise et de l'ingénierie. L'an dernier, son chiffre d'affaires à l'échelle planétaire a atteint les 20 milliards de dollars, en hausse de 11,5%. A l'origine de l'entité Algérie, Deloitte France a généré un chiffre d'affaires de 471 millions d'euros, en croissance de près de 11%. En faisant le choix de l'Algérie, Deloitte ne débarque pas en terre inconnue. Depuis des années, ses équipes s'y succèdent à la demande d'entreprises algériennes et étrangères. Le cabinet intervient déjà auprès de grandes entreprises nationales comme la Sonatrach, la Sonelgaz, la Banque extérieure d'Algérie. La privatisation constitue l'un des champs de prédilection de son carnet de commandes algérien. «Nous intervenons aussi bien au service de vendeurs d'entreprises que d'acquéreurs», précise-t-on à Deloitte France. L'audit, la formation et l'expertise financière figurent au premier rang des services assurés aux clients algériens.

Après deux ans d'activités à distance, Deloitte est arrivé à la conviction que la mise sur pied d'une entité algérienne était plus que jamais opportune. Des discussions ont eu lieu à ce sujet entre le cabinet et une société algérienne de conseils dirigée par Saïd Kdyem, un commissaire aux comptes. Très rapidement, l'idée de création de Deloitte Algérie s'est imposée, indique-t-on à Deloitte France. «Le potentiel de l'économie algérienne est constamment en hausse. Les besoins en conseils, audits et expertises sont énormes», explique au Quotidien d'Oran Gilles Gauttier, directeur opérationnel de Deloitte Algérie. «Chaque jour, nous sommes sollicités par des clients de tous acabits, des sociétés publiques et privées algériennes et des entreprises étrangères à l'oeuvre en Algérie», précise Gauttier, présent à Deloitte France depuis 27 ans. Avant même d'ouvrir ses bureaux, Deloitte Algérie revendique une clientèle potentielle et diversifiée. Les entreprises algériennes d'abord: soucieuses de «se mettre au diapason de la concurrence», elles sont de plus en plus nombreuses à recourir à l'audit et au conseil, note-t-on chez Deloitte France. Autre clientèle potentielle: les entreprises étrangères familières des services de Deloitte et désireuses de s'installer en Algérie. Ou encore les entreprises déjà présentes dans le pays qui sollicitent l'assistance et les conseils de Deloitte dans les domaines de la législation et de la réglementation algériennes. Dans un premier temps, l'entité fonctionnera avec une équipe opérationnelle d'une douzaine de personnes. S'y ajouteront les experts de Deloitte France qui, périodiquement, viendront en Algérie pour le suivi de projets. Partenaire au lancement, la société de Saïd Kdyem a vocation à devenir à terme associée dans Deloitte Algérie, croit-on savoir.

Pour asseoir sa ressource humaine, le cabinet compte s'appuyer sur des Algériens ou Franco-Algériens lauréats des grandes écoles. C'est une marque de fabrique à Deloitte France, une entreprise dont les effectifs se singularisent par la diversité des origines. 49 nationalités - dont l'algérienne - y sont représentées. Le quotidein d'Oran

Hausse des importations de voitures en Algérie au 1er trimestre 2007 (CNIS)

Alger - APS-L'Algérie a importé 49.160 véhicules au premier trimestre de l'année en cours, soit une hausse de près de 25 % par rapport à la même période 2006, a indiqué mercredi à l'APS une source du Centre national de l'Informatique et des Statistiques (CNIS) des douanes. Avec 45.799 unités pour une valeur totale de 34,75 milliards de DA, les importations effectuées par les concessionnaires étaient en nette augmentation (+24,47%) comparativement à janvier-mars 2006. Les importations opérées par les particuliers se sont inscrites, elles aussi, en hausse (+20,81%) avec 3.361 unités pour une somme de 4,29 milliards de DA.

Plan de développement de Sonatrach 2007-2011
7,5 milliards de dollars d’investissements dans l’exploration

Sur un programme d’investissements de 45 milliards de dollars pour la période 2007-2011, Sonatrach consacrera 7, 5 milliards de dollars à l’exploration soit 1,5 milliard de dollars par an, soit plus du double par rapport au plan précédent (700 millions de dollars par an). Cet intensification de l’effort de recherche depuis ces dernières années a déjà porté ses fruits : 18 découvertes en 2006, soit un record, 7 depuis le début de l’année. “Les réserves découvertes ont atteint 250 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) en 2006”, a indiqué à Liberté un responsable de Sonatrach. À comparer avec une production commerciale l’année dernière de 174 millions de TEP. À noter qu’elle prévoit des investissements de l’ordre de 26 milliards dans l’amont et 3 milliards de dollars pour l’international au cours de ce quinquennat. Sonatrach va ainsi intensifier au cours des cinq prochaines années ses efforts d’exploration et de développement des gisements. Liberté

Commerce extérieur: Excédent de 6,3 milliards de dollars à fin mars 2007

L’Algérie a réalisé, au 1er trimestre 2007, un excédent commercial de 6,32 milliards de dollars contre 8,30 milliards de dollars à la même période 2006, selon les données fournies hier à l’APS par le Centre national de l’informatique et des statistiques (Cnis) relevant des Douanes nationales. Les exportations ont atteint 12,2 milliards de dollars (mds usd), en baisse de 9,96% par rapport aux trois premiers mois de 2006, et les importations 5,88 milliards de dollars (+11,9%), précise cette source.
Les exportations d’hydrocarbures ont continué à représenter l’essentiel des ventes de l’Algérie vers l’étranger avec 98,63% de la valeur globale, mais en baisse de -9,42% par rapport à la même période 2006. Quant aux exportations hors hydrocarbures, elles demeurent marginales avec seulement 1,37% du volume global des exportations et une valeur de 167 millions de dollars. Elles ont enregistré une diminution de 36,98% par rapport à la même période de référence.
Les principaux produits hors hydrocarbures exportés sont constitués par le groupe “demi-produits” avec une part de 0,84% du total des exportations, soit l’équivalent de 102 millions de dollars, suivis des groupes “produits bruts” (0,20%, 25 millions usd), “biens alimentaires” (0,17%, 21 millions usd), et “biens d’équipements industriels” (0,11%, 14 millions de dollars). Le groupe “biens de consommation non alimentaires” vient en dernière position avec une part de 0,04%, soit 5 millions de dollars. Pour les importations, leur répartition par groupes de produits fait ressortir une hausse pour l’ensemble des groupes de produits.
Les biens d’équipements ont ainsi représenté 36,97% du total des importations avec 2,17 milliards de dollars, tandis que les produits destinés à l’outil de production représentaient 25,97% du total importé, soit 30,38 millions de dollars, et les biens de consommations non alimentaires 12,95% à 14,84 millions de dollars. La hausse a touché également les biens alimentaires avec 8,39% du total soit 17,80 millions de dollars, indique encore le Cnis.
La répartition des importations par mode de financement montre une nette prédominance du cash, qui reste le mode le plus utilisé avec 81,58% du total des importations des trois premiers mois de l’année 2007, soit 4,79 milliards de dollars, en hausse de +13,23% par rapport à la même période 2006. Le reste des importations a été financé par le biais de lignes de crédit, en hausse de +8,95%, soit 682 millions de dollars, et par le recours aux comptes devises propres et autres à hauteur de 0,03% (2 millions de dollars) et de 6,77%, soit 398 millions de dollars, détaille le Cnis.
De janvier à fin mars 2007, les principaux clients de l’Algérie étaient les États-Unis d’Amérique avec 2,28 mds usd, l’Italie (2,05 mds usd), l’Espagne (1,31 milliard usd), la France (1,29 md usd), les Pays-Bas (841 millions usd), le Canada (780 millions usd) et le Portugal (641 millions usd). Quant aux principaux fournisseurs, la première place est revenue à la France avec 1,11 milliard de dollars, suivie de la Chine (546 millions de dollars), l’Italie (469 millions), l’Allemagne (374 millions), les États-Unis d’Amérique (370 millions), l’Espagne (290 millions) et le Japon avec 253 millions de dollars, selon le Cnis. Sur toute l’année 2006, l’Algérie a réalisé un excédent commercial record de 31,82 milliards de dollars. Liberté

Les Japonais IHI et ITOCHU décrochent un projet GPL
Un contrat d’un milliard de dollars

Le groupement japonais constitué de IHI et ITOCHU va réaliser trois nouveaux trains de séparation de GPL d’une capacité de 1 million de tonnes métriques chacun, à Arzew, pour un montant de 1,099 milliard de dollars.

Le contrat Engineering Procurment et Construction (EPC) a été signé hier au siège de la compagnie nationale des hydrocarbures en présence du secrétaire général du ministère de l’Energie, du PDG de Sonatrach et de l’ambassadeur du Japon. Il a été paraphé du côté de Sonatrach par Abdelhafid Feghouli, vice-président de Sonatrach, et MM. Mitsui Maruyama et Sumitaka Fujita respectivement président opérations de IHI et vice-chairman de Itochu. Les trois trains qui auront une capacité totale de 3 millions de tonnes métriques par an de propane et de butane seront intégrés au complexe GP1/Z. La réception des installations qui comprennent aussi deux bacs de stockage de produits basse température d’une capacité de 70 000 m3 est prévue pour le mois de septembre 2010. Pour le PDG de Sonatrach : « La réalisation de ces nouvelles installations confortera incontestablement Sonatrach dans sa position de leader mondial dans le GPL. Elle permettra de consolider sa position sur le marché mondial et d’y gagner de nouvelles parts », ajoutant : « Nous allons ainsi pouvoir l’approvisionner avec des quantités supplémentaires d’une énergie propre que la multiplication des usages place parmi les réponses appropriées pour faire face au défi de la réduction des gaz à effet de serre. » En 2004, l’Algérie était le deuxième exportateur mondial de GPL derrière l’Arabie Saoudite avec 7,28 millions de tonnes de GPL, comptant 23 clients répartis sur quatre continents. La Méditerranée représente le débouché le plus important avec 80% des volumes exportés. Le marché national est l’autre priorité et l’augmentation des capacités de production de GPL permettra d’assurer une grande disponibilité, selon le responsable de Sonatrach. Pour M. Feghouli, la production actuelle de GPL qui est de 8,6 millions de tonnes par an va passer à 12 millions de tonnes par an et confortera Sonatrach dans sa position de leader mondial pour le GPL. Le financement du projet se fera par Sonatrach sur fonds propres, selon son premier responsable. ELWATAN

samedi 21 avril 2007

LE SFI APPUIE FINANCIÈREMENT LA SOCIÉTÉ DE LEASING MLA
Accord pour un investissement de 11,2 millions de dollars

La Société financière internationale (SFI), filiale du Groupe de la Banque mondiale, chargée des opérations avec le secteur privé, a signé jeudi un accord d’investissement de 820 millions de DA algériens (environ 11,2 millions de dollars) au profit de Maghreb Leasing Algérie, seconde société de leasing à avoir été créée en Algérie au mois de janvier 2006, annonce SFI dans un communiqué.
Cet investissement couvre l’émission d’une garantie pour couvrir un prêt en monnaie locale octroyé par la BNP Paribas El Djazaïr, ainsi qu’une prise de participation de 17% dans MLA (Maghreb Leasing Algérie). Le financement de la SFI permettra de dynamiser le marché financier algérien et aidera MLA à lever les ressources financières nécessaires au financement de l’activité des petites et moyennes entreprises dans des secteurs aussi variés que le transport et la construction. Liberté

Pétrole, gaz naturel, électricité et minerais: Le bilan de l'année 2006

La compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, a produit, en 2006, un peu plus de pétrole et de condensats mais moins de gaz naturel par rapport à l’année précédente, alors que la production minière nationale a connu une progression significative, selon un bilan encore « provisoire » établi par le ministère de l’Energie et des Mines et publié hier.

La production de pétrole et de condensats, précise le bilan rapporté par l’APS, a atteint 77,3 millions de tonnes (619,3 millions de barils) en 2006, en hausse de 195 000 tonnes par rapport à 2005. La production du gaz naturel a reculé, elle, par contre, de 2,2 milliards de m3, passant de 151,7 milliards de m3 en 2005 à 149,5 milliards de m3 en 2006, tout comme les GPL dont la production est tombée à 8,4 millions de m3 contre 8,6 millions de m3 en 2005. Quant aux produits raffinés, leur production a considérablement augmenté durant l’année écoulée, passant à 19 millions de tonnes contre 17,7 millions de tonnes l’année précédente. La même tendance à la hausse est constatée dans la production d’électricité qui est passée de 33 611 Giga watt/h (Gwh) à 35 007 Gwh d’une année à l’autre. Selon le même bilan, la pétrochimie a suivi elle aussi cette courbe ascendante et a grimpé de 179 312 tonnes à 204 535 tonnes. Le secteur minier a, de son côté, réalisé une croissance importante tirée notamment par la production des minerais de fer (1,66 million de tonnes en 2005 à 1,996 million de tonnes en 2006) et les phosphates (de 878 000 tonnes à 1,51 million de tonnes). Les agrégats ont vu eux aussi les extractions augmenter sensiblement de 22,8 millions de m3, en 2005, à 28,03 millions de m3 en 2006 alors que la production de sel a plafonné à 128 000 tonnes contre 94 000 t en 2005. Le bilan du ministère fait ressortir par ailleurs une augmentation relativement importante de la consommation nationale d’énergie (tous types confondus) à 35,38 millions de tonnes équivalent pétrole (tep) l’année passée, contre 34,469 millions de tep en 2005. La consommation de produits raffinés a atteint 11,96 millions de tonnes contre 11,57 millions de tonnes en 2005, tandis que celle de gaz naturel s’est élevée à 23,74 milliards de m3 contre 23,22 milliards de m3 en 2005. En 2006, la consommation d’électricité a grimpé à 23.740 Gwh contre 23 387 Gwh en 2005. Le même bilan fait état, d’autre part, d’une baisse des exportations d’hydrocarbures à 140 millions de tep en 2006, contre 145 millions de tep en 2005, pour une valeur globale de 54 milliards de dollars environ contre quelque 46 milliards de dollars respectivement. Sur ce total, les hydrocarbures liquides ont représenté 74 millions de tep pour une valeur de 35 milliards de dollars, en 2006, contre 75 millions de tep et 30 milliards de dollars en 2005. Les ventes d’hydrocarbures gazeux ont diminué elles aussi à 66 millions de tep rapportant quelque 19 milliards de dollars, en 2006, contre 70 millions de tep et 16 milliards de dollars en 2005, fait savoir la même source. Durant l’année écoulée, relève-t-on encore dans ce bilan, le secteur de l’énergie et des mines a augmenté ses effectifs et employait 210 280 agents, dont 43 644 dans le secteur privé, contre 204 717 agents (39 555 dans le secteur privé) en 2005. Elwatan

Société Générale Algérie développe son réseau

ELLE DISPOSERA BIENTÔT DE 30 AGENCES.

Une quinzaine d’agences seront également ouvertes en vue de se rapprocher davantage
de la clientèle. Société Générale le confirme : le marché bancaire algérien réserve un potentiel de croissance pour les professionnels.

La banque Société Générale Algérie (SGA) vient d’inaugurer sa 27e agence à Dely Ibrahim. Avec l’ouverture de ce nouvel établissement, la banque française poursuit, conformément à sa feuille de route tracée depuis le début de l’année par son principal actionnaire, sa stratégie de développement à travers tout le territoire national. L’installation de l’agence dans cette commune répond à un souci de proximité. Autrement dit, la direction générale veut se rapprocher davantage de sa clientèle et satisfaire ses besoins selon les standards propres à la banque. Dédiée essentiellement à l’entreprise, cette structure accompagnera donc les opérateurs économiques qui, faut-il le souligner, sont de renommée nationale, voire internationale, dans leurs différents projets. Trois autres agences seront également ouvertes dans les prochains jours. Il s’agit de celle de Bordj Bou-Arréridj qui sera rattachée à la délégation régionale de Béjaïa, une sera opérationnelle bientôt à la place du 1er-Mai (Alger), alors que la troisième le sera au quartier les Sources dans la commune de Bir Mourad Raïs. Une quinzaine d’autres seront en outre implantées à Oran, Constantine, une deuxième à Béjaïa et dans le Grand-Alger… “Nous sommes tout à fait cadrés avec notre feuille de route. Mieux, nous sommes même un peu en avance”, affirmera Joël Jarry, directeur général de SGA. Pour lui, la tâche la plus difficile à laquelle fait face sa banque n’est nullement liée à un problème de locaux ou d’équipement mais aux ressources humaines. “Je dis, c’est difficile parce que nous sommes très exigeants. Nous voulons que nos agences soient aux normes et aux qualités du groupe Société Générale. Nous voulons qu’elles produisent des services aux couleurs noire et rouge de la banque. Pour cela, il nous faut des femmes et des hommes qui soient capables de fournir ce service et d’accomplir convenablement leur métier,” expliquera-t-il tout en précisant que ce n’est pas une “grande difficulté, puisque nous y arrivions et que nous en sommes actuellement à 800 employés”. M. Jarry avoue que la banque recrute beaucoup de jeunes bien formés mais qui ont besoin d’expérience. “Le banquier est un métier d’expérience”. SGA a besoin, selon lui, de compétences qui s’adaptent à la clientèle, qui maîtrisent leur métier et ses risques. Ces employés doivent, indiquera-t-il, savoir assurer une rentabilité à leur banque, tout en étant compétitifs et productifs. Parmi les quelques milliers de CV reçus, SGA n’a pas hésité aussi à choisir ceux émanant des cadres des banques publiques. “Nous avons cherché l’expérience car la banque publique est une bonne école qui a formé d’excellents cadres. Mais cela n’a pas empêché ces derniers à vouloir changer d’établissement et opter pour le privé. En plus, il n’y a pas de contre-indications de passer d’une banque publique à une autre privée ou vice-versa. Nous faisons le même métier", soulignera Joël Jarry. Par ailleurs, le DG a mis l’accent sur la nette évolution qu’a connue le système bancaire algérien. Il reconnaît que des étapes importantes ont été franchies dans le cadre du processus de réformes engagées par l’État. Il cite comme exemple l’entrée en vigueur du système de télécompensation. À cela, il y a lieu d’ajouter le projet de développement de la monétique qui constituera, relèvera-t-il, une sérieuse avancée dans le secteur financier. Abordant le bilan de la SGA, M. Jarry a annoncé que la banque prévoit la tenue de son assemblée générale lors de la deuxième quinzaine du mois de mai prochain. Une fois approuvés par l’AG, les résultats du bilan de l’exercice précédent seront communiqués. Une chose est certaine : la direction générale est satisfaite de l’exercice 2006. “Nous sommes en ligne avec nos budgets. Nous ne nous sommes pas trompés, le marché algérien réserve, aujourd’hui, un potentiel de croissance pour des professionnels. Et nous sommes des professionnels. Nous avons encore quelques belles années devant nous.” Les grandes lignes de la stratégie de SGA affichent deux principales ambitions : continuer à développer le réseau, d’une part, et la gamme de produits, d’autre part. Liberté

Tassili Airlines commande quatre avions à Bombardier Aéronautique Canadian Press

TORONTO (PC) - Bombardier Aéronautique a annoncé vendredi que le transporteur aérien algérien Tassili Airlines a passé une commande ferme de quatre biturbopropulseurs Q200 de 35 places.

Au prix courant de l'appareil Q200, le contrat a une valeur d'environ 74 millions $ US.

Cette commande de biturbopropulseurs Q200 suit l'annonce, le 31 juillet 2006, de la commande de Tassili Airlines relative à quatre Bombardier Q400 de 74 places.

Tassili sera le premier exploitant des avions de ligne Q400 et de Q200 en Algérie.

Filiale de Sonatrach State Energy Group, Tassili Airlines assurera d'abord le transport de travailleurs vers plusieurs champs pétrolifères algériens. Tassili prévoit ajouter des vols réguliers intérieurs et internationaux d'ici quelques années.

© La Presse Canadienne 2007

mardi 17 avril 2007

Promotions immobilères: Les opportunités d’affaires de Pulsar Development et Swicorp

Swicorp, groupe de conseil financier et de capital investissement, et Pulsar Development Inc (PDI), promoteur immobilier basé aux Etats- Unis, ont décidé de s’associer pour créer Pulsar MENA.

Cette entité commerciale a pour objectif d’identifier et de gérer des projets immobiliers de grande envergure dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA). Pulsar MENA associe l’expérience internationale de PDI dans le développement de projets immobiliers de qualité et l’expérience établie par Swicorp sur de longues années dans la structuration de transactions complexes à travers la région MENA. Elle se focalisera dans un premier temps sur l’Algérie qui est, selon un communiqué de presse, « parmi les marchés immobiliers les plus prometteurs de la région ». L’équipe est, selon la même source, « au stade final d’évaluation de plusieurs projets en Algérie dont le montant est estimé à plus de 800 millions de dollars ». « Nous pensons que les perspectives de l’immobilier dans la région, et en particulier en Algérie, sont extrêmement prometteuses. Le développement économique et la croissance démographique se conjuguent pour décupler les besoins en immobilier de qualité, que ce soit dans l’immobilier résidentiel ou commercial. Nous pensons que le marché immobilier algérien présente des caractéristiques très intéressantes, avec une demande élevée et un approvisionnement insuffisant pour des produits de qualité », a déclaré Nabil Triki, associé et directeur général de l’activité de capital investissement de Swicorp. Navid Nassiri, directeur général de Pulsar Development, ajoute : « Notre décision de choisir l’Algérie comme tête de pont de notre développement régional est basée sur une étude de marché approfondie conduite sur le terrain par Pulsar ces 15 derniers mois. L’alliance entre Pulsar et Swicorp amorce nos activités régionales et fédère deux organisations dynamiques et qualifiées. Pulsar MENA aspire à devenir un leader du marché de la promotion immobilière dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord. » L’expérience de PDI comprend également les stations touristiques, les hôtels, les bâtiments professionnels, les centres commerciaux ainsi que les hôpitaux. Pulsar Development a développé avec succès des projets pour un montant de plus de deux milliards de dollars et supervise actuellement plusieurs projets pour un montant de plus d’un milliard de dollars. En Algérie, Swicorp a conseillé le groupe Henkel lors de la formation de partenariat avec l’ENAD, la première privatisation dans notre pays en dehors du secteur de l’énergie, et le groupe Danone dans sa prise de participation dans Djurdjura. ELWATAN

Tramway de Constantine: Deux groupements de soumissionnaires en lice

L’ouverture des plis relatifs à la réalisation du tramway de Constantine a donné lieu, dimanche à Alger, « à la composition de deux groupements de soumissionnaires sur les sept ayant retiré le cahier des charges », a indiqué hier un communiqué du ministère des Transports.

Selon la même source, les deux groupements, constitués à l’issue d’une consultation sur les offres techniques qui a eu lieu au siège de l’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), sont Impregilio -SPA (italien) avec comme fournisseurs Analdo et Caf (système intégral) et Groupement Impresa Pizzardti SPA (génie civil, réunissant Alstom ferroviairia et Alstom Algérie (pour la partie système intégral) et Pizzaroti Algérie (génie civil). L’appel d’offres relatif à ces soumissions a été lancé en janvier 2007 pour la réalisation complète du tramway de Constantine qui englobe l’étude de réalisation des ouvrages de génie civil, la plate-forme, la voie ferrée, l’électrification ainsi que le matériel roulant. Le tramway de Constantine, qui se caractérisera par un « design » futuriste conçu pour se fondre de manière optimale dans l’environnement, aura une capacité pouvant atteindre 6000 voyageurs par heure avec une charge maximale de 400 personnes par rame. La première ligne disposera de 16 stations dont trois pôles d’échanges qui assureront le relais entre les différents autres moyens de transports, tout en facilitant le déplacement entre Zouaghi, la zone industrielle Rhummel et la place des Martyrs qui abritera pour la circonstance les pôles tramway, autobus et taxi. ELWATAN

Hydrocarbures: Sonatrach va intensifier la recherche et le développement de gisements

Les bassins de Berkine et du Sud-Ouest s’avèrent les plus prometteurs en termes de découvertes de champs de pétrole et de gaz.
Le 6e séminaire sur la géologie pétrolière, clôturé hier, aura permis de confirmer l’intention de Sonatrach d’intensifier ses efforts en matière d’exploration et de développement de gisements. Elle investira, au cours des cinq prochaines années, 26 milliards de dollars dans l’amont, a indiqué lors de cette rencontre le P-DG de Sonatrach. La compagnie pétrolière nationale, résultat d’un arbitrage au sommet de l’État, va donc poursuivre deux objectifs à première vue contradictoires. Elle est sommée de préserver le plus longtemps possible les réserves d’hydrocarbures au profit des générations futures. C’est l’esprit des amendements à la nouvelle loi sur les hydrocarbures. Sonatrach doit en même temps intensifier ses efforts de recherche et de développement de gisements, pour maintenir et accroître ses revenus pétroliers à moyen terme. Le premier objectif passe par le respect des règles de conservation des gisements. Mais aussi par la maîtrise et le suivi des nouvelles technologies de récupération. L’évolution des techniques au cours des prochaines décennies vont permettre la récupération de quantités importantes d’hydrocarbures aujourd’hui difficilement exploitables.
Le second objectif tient à ses obligations contractuelles avec ses partenaires et au souci de maintenir un niveau de production à même d’assurer des recettes suffisantes pour les dépenses budgétaires et les investissements publics, ainsi que des excédents pour le Trésor et la Banque d’Algérie.
L’effort d’exploration se reflète en particulier dans la série de découvertes enregistrées : 18 découvertes en 2006, 6 depuis le début de l’année 2007. Les bassins les plus prometteurs s’avèrent celui de Berkine et ceux du Sud-Ouest. C’est là où se concentrent les efforts d’exploration des partenaires de Sonatrach. En ce sens, des communications ont été présentées au cours de ce séminaire par les associés sur les difficultés à produire les quantités d’hydrocarbures emmagasinées : structures facturées, tight gas.
En l’occurrence, les partenaires de Sonatrach en particulier Repsol et Total ont rencontré ce type de difficultés. Vers la fin de l’année, ces associés en accord avec la compagnie pétrolière nationale vont décider de développer ces gisements. Les quantités d’hydrocarbures découvertes sont considérées comme importantes au Sud-Ouest. Mais il s’agira de les développer en synergie pour une question de coût. Car cette région nécessite la réalisation d’infrastructures pour évacuer les quantités découvertes vers la côte. LIBERTE

Cevital: Mise en service de deux unités industrielles

Par : LIBERTE

Le groupe agroalimentaire privé Cevital devrait inaugurer incessamment deux unités industrielles, l’une pour la production de verre plat et l’autre pour la construction de bâtiments préfabriqués, a indiqué hier à Alger le directeur de la communication du groupe, M. Kamel Sidi-Saïd.
L’usine de verre plat, localisée à Larbaâ dans la wilaya de Blida, “sera la première en Afrique et produira à terme 2 200 tonnes par jour” de ce produit, a indiqué M. Sidi-Saïd à la presse à l’occasion de l’ouverture du Ve Salon international de l’agroalimentaire auquel prend part l’entreprise de M. Issad Rabrab.
La première ligne de production de cette unité, dont l’entrée en fonction est prévue pour la fin du mois en cours, aura une capacité de 600 tonnes par jour, et sera suivie d’une deuxième (700 tonnes/jour) puis d’une troisième (900 tonnes/jour), a précisé ce responsable.
D’un coût d’investissement de 181 millions de dollars, cette usine va générer, a-t-il affirmé, quelque 2 500 emplois nouveaux. Une partie de son produit sera destinée à l’exportation vers des pays d’Europe, a-t-il ajouté. Le groupe privé doit, par ailleurs, ouvrir, en juillet prochain, sa première usine de fabrication d’éléments de bâtiments préfabriqués d’une capacité de 2 800 m2 par jour, selon le même responsable.
Dix autres unités similaires seront implantées dans toute l’Algérie, a-t-il ajouté. Leader dans la branche de l’agroalimentaire, notamment dans les huiles végétales, les matières grasses et le sucre, Cevital compte également investir le secteur agricole et celui de l’énergie, affirment ses dirigeants. Le groupe est classé actuellement en sixième position en termes de chiffre d’affaires, et il est 4e en termes de résultat net, après Sonatrach, Sonelgaz et la SNTA (tabac). Créé en 1998 avec un capital social de 18,88 milliards de DA, Cevital a vu son chiffre d’affaires grimper rapidement pour atteindre 38,2 milliards de DA en 2004.

lundi 16 avril 2007

Nouvelle ville universitaire: Un mégaprojet futuriste

En dépit de son importance, puisqu’il donnera à la ville de Constantine les particularités d’un pôle d’excellence en matière d’enseignement supérieur, le projet de la nouvelle ville universitaire semble être éclipsé jusque-là par la réalisation d’autres ouvrages structurants, à l’instar du tramway, de l’autoroute Est-Ouest et du viaduc.

Pourtant, le projet dont la pose de la première pierre est prévue aujourd’hui, à l’occasion de la visite du Président à la ville de Constantine, présente une fiche technique bien étoffée. Annoncé pour la première fois par le wali de Constantine en octobre 2005, lors de sa première rencontre avec la presse, le projet de la nouvelle ville universitaire est qualifié par les spécialistes comme étant un ouvrage original, au vu de ce qui a été réalisé par le passé. Pour la première fois, des pôles pédagogiques ayant le statut d’écoles autonomes seront créés, et où des spécialités nouvelles verront le jour. Le wali de Constantine n’a pas manqué de rappeler, à chaque occasion, que cette nouvelle ville universitaire sera un défi à relever en raison de l’importance des moyens qui seront mis en place. Après l’achèvement des études d’aménagement du site et de la répartition des différentes parcelles, le projet a été confié à la China State Company of Engineering and Construction (CSCEC), qui a présenté la meilleure offre pour l’étude et la réalisation. Une attribution qui n’a pas surpris les connaisseurs, puisque l’entreprise de l’empire du milieu est bien connue à l’échelle internationale, et a déjà fait ses preuves dans plusieurs pays. Elle demeure parmi les 500 entreprises les plus performantes au monde. Les techniques de réalisation proposées par les Chinois sont aussi surprenantes, surtout qu’ils ont projeté de réaliser 10 écoles, 19 résidences universitaires d’une capacité totale de 38 000 lits et un restaurant central, dans un délai de 28 mois. Le mégaprojet est divisé en cinq tranches, composées de six parcelles chacune, soit un total de trente parcelles considérées elles-mêmes comme des projets à part entière. Le plus important à retenir reste le fait que la wilaya de Constantine bénéficiera, pour la première fois, de la création de 10 écoles d’envergure nationale. On citera les écoles d’architecture, de gestion urbaine, de biotechnologie, de sciences politiques, de médecine, d’arts et de culture, de génie des procédés pharmaceutiques, de communication et d’audiovisuel, cela en sus de l’ouverture d’un nouveau siège pour l’Ecole normale supérieure (ENS) ainsi que d’une école polytechnique qui sera la seconde du genre en Algérie. Pour les Chinois, l’envergure de ce projet « pharaonique » fait craindre des problèmes liés à la disponibilité de l’eau et des sources d’énergie, mais surtout à la mobilisation d’une main-d’œuvre qualifiée, sachant que les chantiers auront besoin durant les phases de plein régime de pas moins de 2500 travailleurs, toutes spécialités confondues. Une situation qui donnera à réfléchir aux autorités de la wilaya, appelées à saisir cette aubaine pour assurer des postes de travail aux milliers de chômeurs. L’autre souci demeure le facteur temps, car le projet devait démarrer le 1er décembre 2006, selon les estimations des Chinois, mais il s’est trouvé retardé pour des formalités bureaucratiques. La pose de la première pierre par le Président devra marquer le début de la phase exécution, car la CSCEC est déjà prête pour installer ses gigantesques chantiers. ELWATAN

dimanche 15 avril 2007

04 découvertes d’Hydrocarbures réalisées dans les bassins de Berkine et d'Illizi


Sonatrach annonce ce dimanche 15 avril 2007, la réalisation de quatre découvertes d’hydrocarbures dans les bassins de Berkine et Illizi dans le cadre de ses activités en association.
Il s’agit de:
-Une découverte de gaz dans le bassin de Berkine en association avec la compagnie canadienne First Calgary Petroleum sur le puits MZLS-2 (Menzel Ledjmat Sud-2) situé sur le périmètre de Ledjmet (bloc 405b).
Le puits MZLS-2 a produit, dans le trias Argilo-Gréseux inférieur (TAGI), 2006m3/h de gaz sous duse 32/64“ avec une pression de 499 psi.

-Deux découvertes de gaz et d’huile en association avec la compagnie Medex North Africa Ltd dans le bassin d’illizi sur les puits GTTN-1 (Gara Tin Tamelra) et WHD-1 (West Ihansaten D-1) situés respectivement dans les périmètres Erg Issaouane (blocs 226/229b) et Bourarhet Nord (bloc 242).

Le puits GTTN-1 a produit dans le réservoir du Dévonien (F2) 2875m3/h de gaz sous duse 32/64“ avec une pression de 473 psi.

Le puits WHD-1 a produit dans le réservoir du Dévonien inférieur (F6-C3) 3.46m3/h d’huile sous duse 32/64“ avec une pression de 30 psi.

-Une découverte de gaz en association avec la compagnie Petroceltic International PLC dans le bassin d’Illizi au puits HTT-2 (Hassi Tabtab-2) situé dans le périmètre Isarène (blocs 228/229a).

Ce puits a produit dans le dévonien (F2) 7905m3/h de gaz sous duse 32/64“ avec une pression de 1141 psi.

Avec ces quatre premières découvertes réalisées en association, le nombre des découvertes réalisées par Sonatrach, durant l’année en cours, s’élève à six (06) dont deux par Sonatrach en effort propre.
Source: Sonatrach.dz


vendredi 13 avril 2007


Sommet du G8 de Heiligendamm (Allemagne) Merkel invite Bouteflika

Par : EL MOUDJAHID
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a reçu un message de la Chancelière fédérale de la République fédérale d’Allemagne, Mme Angela Merkel, l’invitant à prendre part au sommet du G8 qui se tiendra le 8 juin de l’année en cours à Heiligendamm. "Les Chefs d’Etats et de gouvernement du G8 veulent se réunir, à l’occasion de leur sommet qui se tiendra le 8 juin 2007, en présence des Chefs d’Etat et de gouvernement africains pour mener des entretiens approfondis", souligne Mme Merkel dans son message, ajoutant, "je vous invite cordialement et me réjouis de votre participation". "En ma qualité de présidente du G8 pour cette année, j’ai fais de l’avenir politique et économique de l’Afrique, une priorité de notre agenda", affirme par ailleurs la Chancelière fédérale allemande. "Nous voulons approfondir davantage notre partenariat de réforme avec l’Afrique et trouver des voies, afin de mieux soutenir une bonne gouvernance, la paix et la sécurité ainsi que les systèmes de soins de santé en Afrique, et définir un cadre stable pour la croissance économique et le développement durable en Afrique", conclut Mme Merkel.


Sonatrach siége au sein du conseil général de surveillance du groupe énergétique portugais "Energias de Portugal EDP",

Alger - La Sonatrach a signé mercredi avec le holding de participation portugais "Parpublica-Participacoes Publicas, SGPS, SA" et la caisse de dépôt portugaise "Caixa Geral de Depositos, S.A", un pacte d'actionnaires lui permettant de siéger au sein du conseil général de surveillance du groupe énergétique portugais "Energias de Portugal EDP", a indiqué jeudi la compagnie nationale dans un communiqué. Ce conseil constitue "la plus haute instance stratégique au niveau d'EDP", a précisé Sonatrach, en annonçant avoir acquis, sur le marché boursier portugais, une part de 2,035 % du capital du groupe Energias de Portugal. Avec cette acquisition, Sonatrach "devient pour la première fois de son histoire un actionnaire d'une société énergétique en Europe", a relevé la compagnie nationale. APS

mercredi 11 avril 2007

Les Portugais apportent assistance aux banques algériennes

L’Algérie et le Portugal ont signé hier un protocole de coopération dans le secteur financier. Ce protocole a été signé par Karim Djoudi, ministre délégué à la réforme financière, et son homologue portugais, Carlos Pina, secrétaire d’Etat portugais du Trésor et des finances. Ce document touche au développement de la monétique, de la supervision bancaire et à la formation des cadres bancaires algériens. Il s’inscrit dans l’un des accords de coopération bilatérale conclus en janvier dernier à l’occasion de la visite à Alger du Premier ministre portugais, José Socrates. Il permettra, comme l’a expliqué Karim Djoudi lors de la cérémonie de signature, aux institutions financières algériennes de s’imprégner de l’expérience acquise par le Portugal dans les domaines bancaire, des assurances et des marchés de capitaux. Une des institutions financières à tirer profit de cet accord, la Société algérienne d’automatisation des transactions interbancaires et de monétique (SATIM). Celle-ci se fera ainsi assister par la portugaise (SIBS) pour le parachèvement du projet de la monétique. Le protocole d’accord prévoit également la contribution de la banque publique portugaise Caixa Geral de Depositos à la mise à niveau de certaines banques publiques algériennes, a souligné le ministre délégué à la réforme financière. Intervenant à la fin de la cérémonie de signature de ce document, le secrétaire d’Etat portugais au Trésor et aux finances a indiqué que cette initiative est «une nouvelle étape» dans l’approfondissement des relations financières, politiques et économiques entre les deux pays. Il a également considéré que l’exemple de son pays dans le domaine bancaire constituerait «une référence» pour l’Algérie. Et d’expliquer : «Après la nationalisation des banques opérée dans les années soixante-dix au Portugal, un mouvement de privatisation a suivi dans les années quatre-vingt-dix dans la perspective, à l’époque, de l’adhésion de ce pays à l’Union européenne.» «C’est, a-t-il ajouté, cette expérience en matière de privatisation bancaire que nous voulons également ‘’partager’’ avec l’Algérie.» L’Algérie et le Portugal sont liés par un traité d’amitié, de bon voisinage et de coopération entré en vigueur en mars 2006. La première réunion de haut niveau algéro-portugaise, tenue en janvier dernier, s’était soldée par la signature de l’amendement au mémorandum de coopération et d’assistance entre le ministère algérien des Finances et la Caixa Geral de Depositos, entre autres. Cet accord avait prévu la coopération au niveau du partage des connaissances techniques et d’expériences dans le cadre des politiques et des réformes développées par les deux pays dans le domaine de la modernisation du système financier, notamment les marchés de capitaux et les systèmes de paiement. La Tribune


Société arabe d'investissements pétroliers: 51 millions de dollars de bénéfice en 2006

Le Caire - La société arabe d'investissements pétroliers (Apicorp), dans laquelle l'Algérie est actionnaire, a réalisé en 2006 un bénéfice net de 51 millions de dollars contre 36 millions de dollars en 2005, indique le rapport financier approuvé par le Conseil d'administration de l'entreprise qui s'est réuni au Caire. Ces bénéfices n'englobent pas les revenus de la vente de la cimenterie égyptienne pour un montant de 58,8 millions de dollars, selon le rapport. APS

20 milliards d’euros pour moderniser les routes en Algérie

Le renouvellement des couches de surface des routes sur 12 000 kilomètres
L’atténuation du phénomène de la congestion des villes nécessite une approche multisectorielle. Car, cette problématique va de l’infrastructure routière à l’organisation des transports, en passant par la circulation et les problèmes liés à l’urbanisme et à l’aménagement du territoire. Et c’est justement en vue d’assurer une meilleure fluidité que l’un des grands chantiers, ouverts dans le cadre du plan de relance, concerne l’entretien et la maintenance des routes au sein des communes. Il est prévu le renouvellement des couches de surface des routes sur 12 000 kilomètres. Ce qui placera l’Algérie aux standards internationaux qui exigent cette action tous les 10 ans. Parallèlement, un programme de renforcement et de modernisation sur un linéaire de 12 500 km est lancé. Il est également programmé d’autres projets. L’enveloppe réservée au secteur dans le cadre du programme de soutien à la relance économique a atteint 1 300 milliards de DA. “Ce montant est appelé toutefois à augmenter pour atteindre 1 800 milliards de DA pour réaliser tous ces projets et les grands axes structurants d’ici à 2010”, soit environ 20 milliards d’euros, a annoncé le directeur des routes au ministère des Travaux publics, M. Hocine Nacib, hier, sur les ondes de la radio Chaîne III. Il s’agit de l’autoroute Est-Ouest dont l’achèvement est fixé pour 2009, de la rocade des Hauts-Plateaux, une autoroute qui reliera la frontière algéro-marocaine et algéro-tunisienne sur plus de 1 300 km. À cela, il faut ajouter l’aménagement des routes côtières ainsi que la seconde rocade déjà mise en chantier autour de l’agglomération algéroise qui va décongestionner le trafic enregistré actuellement sur la Rocade Sud. Une troisième rocade, qui s’étale sur 150 km, reliera Nador à Bordj Ménaïel et une quatrième de près de 400 km qui va de Khemis Miliana en passant par Médéa, le sud de Bouira, M’sila et Bordj Bou-Arréridj. Tout ce programme permettra de résorber tout le retard enregistré en matière d’infrastructures routières, de procéder à des mises à niveau aussi bien en termes de modernisation, d’exploitation et d’entretien du réseau. “Nous nous sommes, en outre, fixé des objectifs en matière de qualité”, expliquera M. Nacib. Des directives ont été, par ailleurs, envoyées aux directeurs de wilaya des travaux publics pour la concrétisation de la mise à niveau de toute la signalisation. “Nous avons même élaboré un schéma de signalisation et de tout ce qui est équipement routier de sécurité ou autres, outre la réalisation de 500 maisons cantonnières et 15 parcs régionaux”, indiquera-t-il. Sur un autre registre, le secteur des TP a mis en œuvre un programme afin de supprimer tous les points noirs “accidentogènes”. Ceux-ci sont recensés, et les budgets sont déjà dégagés. Ces aménagements, qui interviendront à cause de l’état de la route, d’un défaut ou d’une mauvaise signalisation… peuvent réduire de 4 à 5 fois le nombre d’accidents sur ces mêmes routes.Ces travaux sont inscrits, faut-il le souligner, dans le cadre du programme d’entretien dont l’enveloppe allouée pour le quinquennat est évaluée à 90 milliards de DA, plus un montant de 20 milliards de DA destinés uniquement pour les chemins communaux. Liberté


La banque CPA sera privatisée fin 2007

Les 6 banques étrangères préqualifiées sont en phase d’étude de la santé financière de l’institution à privatiser
Karim Djoudi, ministre délégué à la Réforme financière se montre confiant quant au déroulement de l’opération de privatisation du Crédit populaire algérien (CPA). “L’opération de privatisation suit son cours normalement et elle sera finalisée avant la fin de l’année 2007”, affirme le ministre délégué à la Réforme financière lors de l’allocution prononcée à la résidence El-Mithaq à Alger, hier, à l’issue de la cérémonie de signature d’un protocole de coopération avec Carlos Pina, secrétaire d’État du Trésor et des finances portugais. Toujours à propos de la privatisation du CPA, le ministre algérien estime que les premières étapes relatives à ce processus se sont bien déroulées. “Nous avons lancé les appels d’offres, et des banques étrangères ont émis le désir d’entrer en concurrence. Nous avons ainsi sélectionné 6 banques à savoir, Natixis, la Banque populaire, BNP, la Société Générale, Citibank et Santander. Ces banques vont entamer maintenant des études sur le CPA en évaluant ses bilans et en estimant ses avoirs et son patrimoine. Juste après cette étape, ces institutions financières feront leurs offres pour l’acquisition du CPA. C’est alors qu’il y aura la dernière phase consistant en l’étude de toutes les offres par une commission chargée de choisir la meilleure offre”, explique le ministre délégué. Quant au marché des valeurs en Algérie, Karim Djoudi affirme que seules les valeurs obligataires de l’État connaissent une demande grandissante. Concernant la Bourse qui est à l’arrêt, il affirmera que pour le moment elle ne compte que 3 clients, alors qu’il en faudrait beaucoup plus pour qu’elle puisse fonctionner normalement. À propos du protocole paraphé hier, le ministre estime qu’il vient à point nommé pour renforcer des relations déjà excellentes tant sur le plan politique qu’économique. Cet accord porte notamment sur la formation des cadres des institutions bancaires algériennes. “C’est ainsi que les cadres des banques algériennes vont bénéficier de cycles de formation qu’assureront des experts portugais”, affirme Karim Djoudi. Ce dernier insiste justement sur les avantages de cet accord pour la partie algérienne en matière du développement des marchés des capitaux et de la monétique, d’autant que le Portugal, un pays de l’Union européenne, possède une longue expérience en la matière. Le secrétaire d’État portugais estime que les relations entre les deux pays sont appelées à évoluer : “Ces mêmes relations ont connu un premier renforcement lors de la visite du Premier ministre portugais en Algérie en janvier dernier.” Il rappelle que son pays, qui a connu durant les trente dernières années des opérations de nationalisation et ensuite des actions de privatisation, “peut faire bénéficier l’Algérie de toutes ces expériences”. Il annonce ainsi que “cette coopération portera essentiellement sur l’échange de données financières, les assurances, le marché des valeurs et les échanges entres les institutions financières publiques des deux pays”. En effet, même si le Portugal est pays d’économie de marché, il n’en demeure pas moins qu’une banque publique, la Caixa Depositors, y détient 30% des parts de marché. C’est cette spécificité qui ressemble à la réalité des marchés financiers algériens qui a poussé les responsables nationaux à tisser des liens privilégiés avec le Portugal pour suivre cet exemple.La partie algérienne compte bénéficier aussi des expériences du Portugal sur le plan du contrôle des systèmes financiers et la sécurité en matière de monétique et des paiements électroniques. La partie algérienne, qui veut moderniser son système bancaire, financier et des assurances, a besoin des expériences d’autres pays comme le Portugal, pour mener à bon port ces dites réformes. Liberté

samedi 7 avril 2007


Mohamed Meziane, P-DG de Sonatrach : “Une Opep du gaz peut être envisagée”

Une Opep du gaz créée entre les pays exportateurs de gaz devrait être envisageable à partir du moment où les consommateurs et les clients le font déjà, a estimé jeudi le P-DG de la compagnie publique algérienne d'hydrocarbures Sonatrach, Mohamed Meziane, cité par l’AFP. Les principaux pays exportateurs de gaz se réunissent les 9 et 10 avril à Doha pour la 6e édition du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG), au cours de laquelle ils vont notamment débattre de la création d'une organisation sur le modèle de l'Opep pour le pétrole. “Quand les consommateurs, les clients s'organisent, est-ce qu'on ne pourrait pas permettre aux autres de s'organiser ?” a expliqué M. Meziane lors d'une réunion d'experts pétroliers à Paris. “Les ministres vont se réunir au Qatar, ils vont voir”, s'est-il contenté d'ajouter. Mohamed Meziane a refusé par ailleurs de s'exprimer sur l'idée évoquée par le candidat UMP à l'élection présidentielle en France, Nicolas Sarkozy, de préférer une alliance entre la Sonatrach et GDF à une fusion entre GDF et Suez. Le 12 mars, Patrick Devedjian, l'un des proches de M. Sarkozy, avait affirmé que ce dernier souhaitait privilégier un adossement de Gaz de France à la Sonatrach à une fusion avec Suez pour “créer un grand groupe gazier euro-africain” et “sécuriser l'approvisionnement de la France”. Interrogé sur un projet d'expansion de la Sonatrach en Europe, M. Meziane a juste déclaré que “l'important, c'est d'être présent dans toute la chaîne avec nos partenaires, de l'exploration au développement des gisements, les transports, la liquéfaction et la pétrochimie et d'être plus en aval dans la distribution”. Au sujet de l'accord signé en décembre avec GDF, réservant à Sonatrach une capacité de regazéification au terminal de Montoire (ouest de la France), l'un des plus importants d'Europe, M. Meziane a rappelé que “cela concerne la distribution vers des marchés de gros des clients éligibles”. “La séquestration du CO2 ne coûte pas aussi cher et ne grève pas d’une manière drastique les revenus des IOC”, a estimé M. Meziane, cité par l’APS. Évoquant l’expérience algérienne en la matière, notamment sur le gisement d’In Salah, il a calculé des besoins de l’ordre de 50 millions de dollars pour séquestrer un million de tonnes de CO2. Divers experts ont noté, en marge des travaux, que les coûts des opérations de séquestration du CO2 ne devraient pas se poser du fait que les IOC réalisent des superprofits qui pourraient répondre, en partie, à la recherche de sources de financement. Pour ces actions de protection de l’environnement. Pour M. Meziane, ce problème de sécurité des approvisionnements tant décrié par les pays consommateurs ne se pose pas pour l’Algérie qui est toujours restée fidèle dans ses engagements et régulière dans ses fournitures d’hydrocarbures. C’est aussi le message adressé par M. Meziane lors de la présentation de l’évolution des activités de Sonatrach en expansion, diversifiant ses activités (pétrochimie, dessalement de l’eau de mer, etc). Il a appelé les IOC et les NOC “à s’allier pour trouver des solutions pour tous”, soulignant que “le partenariat est central dans la stratégie de Sonatrach”. Le P-DG de Sonatrach, M. Mohamed Meziane a, par ailleurs, souligné que “le monde a changé, et qu’il faudrait en conséquence trouver de nouveaux procédés de coopération”, notamment entre sociétés multinationales et compagnies nationales. LIBERTE

Elle envisage d’acquérir le quart des actions du groupe:
Sonatrach achète des parts de la Compagnie Portugaise « Energia »

Sonatrach a acheté plus de 2, 03 % des actions et parts de la compagnie portugaise d’électricité et de gaz « Energia », ce qui représente une première étape après des mois de négociations, pour l’acquisition par Sonatrach de 25 % du capital de la compagnie Portugaise. Au paravent, la compagnie algérienne avait acheté des parts aux deux grands groupes américains Anadarko et Duke Energy, comme elle a conclu des accords de partenariat avec les grands groupes gaziers Statoil, British Gaz et Gaz de France.Il est attendu que les deux parties, algérienne et portugaise, signent un protocole d’accord, pour concrétiser l’accord conclu, qui comprend l’approvisionnement, par la partie algérienne, du groupe Energia avec 2 milliards de mètres cubes de gaz par an, et la participation des deux compagnies dans le projet de réalisation de centrales électriques au Portugal.Des sources proches du secteur de l’énergie n’excluent pas que la part de Sonatrach augmente prochainement, étant donné qu’elle voulait acquérir 25 % des actions, sachant que l’Algérie approvisionne le Portugal, conformément à l’accord signé en 1993, en 2,5 milliards de mètres cubes/gaz par an. Or, le Portugal veut, en ce moment, augmenter les quantités importées pour atteindre la barre de 3.5 milliards de mètres cubes par an. L’acquisition d’une partie du capital de « Energia » par la Sonatrach, importe beaucoup à la compagnie algérienne, qui pourra obtenir des avantages, inclus dans les nouvelles lois Européennes. ELKHABAR

OUVERTURE DU CAPITAL D’ALGÉRIE TÉLÉCOM: Qatar Télécom intéressé

Qatar-Télécom est intéressé par l’ouverture du capital d’Algérie Télécom (AT). Les représentants de cette entreprise ont émis ce souhait au cours d’une réunion qui les a regroupés, jeudi avec le ministre de la Poste et des Technologies de l’information, Boudjemâa Haïchour. Ce dernier a exhorté les responsables de Qatar-Télécom à développer des actions de partenariat et de coopération avec les entreprises du secteur, notamment Algérie-Télécom et ses filiales. M.Haïchour, a, par ailleurs, souligné que les réformes engagées dans le pays depuis la promulgation de la loi 2000/03 commencent à donner des résultats très positifs et prometteurs.Le ministre a saisi cette occasion pour donner un aperçu à la délégation présidée par cheikh Abdallah Ben Mohamed Ben Saoud Al Thani, président du Conseil d’administration, sur le projet du Cyber parc de Sidi Abdallah, appelé à devenir une véritable technopole dans le domaine du développement de la recherche dans les technologies de l’information et de la communication (TIC) en Algérie.Notons que l’opérateur Qatari Qatar Télécoms (QTel) est devenu, depuis le 2 mars dernier, l’actionnaire majoritaire dans le capital de Wataniya Télécom, une filiale du groupe d’investissements koweïtien Kipco. En vertu de cet accord passé entre Qtel et Kipco, l’opérateur Qatari procédera à l’achat auprès du groupe Kipco et d’autres parties concernées par cet accord pour un total de 233,6 millions d’actions de Wataniya Télécom ce qui représente 51% du capital de cette filiale du groupe. Cette transaction inclut l’acquisition additionnelle de 9% du capital des filiales algérienne et irakienne de Wataniya Télécom.Outre QTel, la société Emirates Telecommunication Corporation (Etisalat), leader des télécommunications aux Emirats arabes unis, envisage de marquer de son empreinte le marché algérien. Son premier responsable, M.Mohamed Hassen Amrane, a révélé dernièrement à Reuters, en marge du forum économique de Davos, que son groupe est prêt à investir trois milliards de dollars dans le capital d’Algérie Télécom, dont l’ouverture est prévue pour le deuxième semestre 2007.Le groupe télécom koweïtien MTC se dit, notamment intéressé par Algérie Télécom dans lequel il espère investir au terme du processus de privatisation de l’opérateur historique algérien. Selon des sources koweïtiennes, MTC étudie la possibilité d’achat d’une part de la compagnie Algérie Télécom. L'Expression

AIR ALGERIE: 97% de réservations sur la ligne Alger-Montréal.

La compagnie nationale Air Algérie a enregistré un taux de 97% de réservations par rapport à la capacité offerte par les 11 premiers vols sur la ligne Alger-Montréal. C’est ce qu’a affirmé, mercredi, le directeur général adjoint, M.Hadj Rabia Nacer au cours d’une soirée organisée à Alger par le Business Club algéro-canadien (Bcac). La compagnie a enregistré, en fait, dès l’ouverture des ventes, un engouement sans pareil de notre communauté au Canada. La vente des billets pour la ligne Alger-Montréal-Alger a été lancée le 19 mars dernier et le premier vol est programmé le 15 juin prochain. Le programme des vols qui débute le 15 juin 2007, prévoit deux vols par semaine, le mardi et le vendredi, en Airbus A330/200, d’une capacité de 269 sièges. Ce projet a été réalisé grâce à l’accord paraphé le 5 juillet 2006, entre les autorités des deux pays. Pour y parvenir, Air Algérie a satisfait plusieurs exigences, notamment l’obtention du certificat canadien d’exploitation aérien étranger (Faoc) et l’audit effectué par les experts de transport Canada, en mars 2006, lié au respect des normes de sécurité, à la maintenance et à la conduite des avions.L’ouverture de cette ligne long courrier, fait partie des actions stratégiques inscrites dans le plan de développement de l’entreprise. Le ministre des Transports, qui était invité, lui aussi, à cette rencontre, a souligné que «l’Algérie fera en sorte que cette ligne directe, d’une extrême importance, renforce les liens anciens et forts qui unissent les deux pays».Par ailleurs, et concernant les dessertes entre l’Algérie et la Belgique, le président-directeur général d’Air Algérie, Taïb Benouis, a indiqué, jeudi, aux représentants de la communauté algérienne établie en Belgique que les tarifs des vols vers l’Algérie ne sauraient être baissés. Il promet, en revanche, une amélioration des prestations de la compagnie nationale.Les représentants du mouvement associatif ont déploré les effets de cette cherté qui dissuadent les jeunes, en particulier, de se rendre dans le pays d’origine, préférant pour le même tarif, environ 600 euros, se rendre dans les nombreux pays qui offrent au même prix des séjours d’une semaine en demi-pension.Sur l’évolution de la compagnie nationale, M.Bennouis a indiqué, à cet égard, que la compagnie a accusé un déficit de 40 milliards de dinars de 1988 à 2001, en raison, entre autres, des prix administrés pour les lignes intérieures, notamment du Grand Sud algérien, et de la situation qui a prévalu dans le pays.Selon lui, les prix pratiqués à l’intérieur du pays restent, à ce jour, concurrentiels au niveau national (7,5 dinars le kilomètre contre 22DA au Maroc, 20 en Tunisie et 44 en France). L'Expression


Finances: 24 banques activent en Algerie.

Le gouverneur de la Banque d’Algérie a enfin livré le nombre exact des banques activant en Algérie. Elles sont au nombre de 24 en février 2007.
La loi de 1990 avait déjà permis l’ouverture du secteur bancaire aux capitaux privés nationaux et étrangers. En 2003, l’Algérie comptait ainsi 22 banques. Outre, les 7 banques publiques, il y avait 7 banques privées algériennes et 10 banques privées étrangères (dont 3 françaises, Natexis, Société Générale et BNP-Paribas). Le chiffre a atteint 32 banques agrées au début 2006. Actuellement, il ne reste plus aucune banque privée algérienne. Elles ont toutes été liquidées ou dissoutes. A noter que la Commission Bancaire a procédé au retrait d’agrément de certaines institutions comme ARCO BANK et Al Rayan Algerian Bank et AIB ou encore Khalifa Bank et la BCIA.La modicité du capital des banques privées limitait leur capacité de crédit en raison de l’application normale des règles prudentielles. Les autorités algériennes ont ainsi amené les banques à augmenter leur capital.C’est dire que l’organisation bancaire et financière de l’Algérie est en mutation. Des réformes ont été entamées avec la promulgation de la loi sur la monnaie et le crédit au début des années 1990. Elle a été suivie par la promulgation d’une nouvelle loi en 2003 qui vise la modernisation du secteur, selon la Banque d’Algérie.La stabilisation du cadre macro-économique et la stabilisation des équilibres auraient facilité la mise en œuvre de ces réformes. Par ailleurs, certains organismes étrangers ont opté pour des bureaux de liaisons.D’un autre côté, l’Etat a effectué un effort important en assainissant la dette des banques publiques et en les recapitalisant, l’objectif étant de moderniser leur fonctionnement et le hisser aux normes internationales, afin de faciliter les opérations de privatisation ou d’ouverture du capital qui est en cours pour l’une d’entre elles. Les banques publiques participent ainsi à la politique de détente budgétaire, favorisent le crédit et offrant de nouveaux produits alors que des institutions privées spécialisées font leur apparition sur le marché monétaire telle que l’Arab Leasing Corporate (à capitaux algériens, public et privé, saoudiens et une participation de la SFI).Quant à la réglementation des changes, elle consacre le principe de la liberté de mouvement des capitaux ainsi que le rapatriement des fruits des investissements. La réglementation et le contrôle des opérations sont stricts, ce qui rend la mise en œuvre des opérations financières assez lente. La convertibilité du dinar pour les opérations courantes est depuis quelques années acquise, tout comme la liberté d’ouverture d’un ou plusieurs comptes en devises.Les banques algériennes ou à capitaux étrangers n’hésitent pas également à investir dans les ressources humaines pour informer les clients des différents services proposés et des démarches à entreprendre notamment pour l’ouverture de nouveaux comptes ou le crédit à la consommation.Les banques usent d’un marketing à toute épreuve pour inciter les citoyens à contracter divers prêts pour s’équiper en véhicules ou en appareils électroménagers.Des dépliants sont exposés dans des présentoirs à l’intention de la clientèle. Les prospectus informent des démarches à entreprendre pour obtenir les différents services des banques. Quelquefois, il est précisé que des possibilités d’achat de véhicules ou autres biens existent avec des explications concernant le taux d’intérêt, la durée du crédit et les modalités de remboursement.Les banques sont même conventionnées avec de nombreux concessionnaires pour faciliter les achats à l’exemple d’ABC et CETELEM.A Alger, les nouvelles banques ouvrent des agences dans des quartiers populaires et des quartiers chics comme à la Résidence Chaâbani au Val d’Hydra ou encore Kouba et Dar El Beida. Hydra, la place Emir Abdelkader, Maurétania, la Place du 1er Mai sont aussi des endroits ou les enseignes fleurissent. Des contrées lointaines comme Hassi Messaoud n’échappent pas à la règle. De nombreux cafés sont loués pour être transformés en agences. Outre les particuliers, les entrepreneurs se voient également proposer des offres destinées à obtenir des crédits d’investissement.Les Algériens sollicitent non seulement des crédits mais aussi des cartes de retrait et l’e-banking pour consulter les comptes à distance. L’accès aux simulations de crédit est aussi offert comme à la CETELEM. LIBERTE


ACT compte ouvrir une nouvelle usine de montage de bus Néobus

Par : AAI
La société Associated Car and Truk (ACT), spécialisée dans le montage et la distribution des véhicules lourds, actuellement représentée au Salon International de l’Automobile à Alger, compte ouvrir très prochainement une usine dédiée au bus dans la commune de Larbaâ ( Wilaya de Blida) . Selon l’un des responsables d’ACT, cité par la presse, le projet qui est en phase finale, consiste en une unité de montage en CKD de bus de la marque brésilienne Néobus." Si la carrosserie de ce bus est brésilienne, le châssis est en revanche l’œuvre de la marque allemande Volkswagen. Il est fort possible que le coup d’envoi de l’assemblage s’effectue au début du mois de mai prochain ", selon la même source. Pour la première année, la capacité de production sera de 350 bus/an. Elle atteindra sa vitesse de croisière, expliquera la même source, au cours de la deuxième année et dépassera les 600 bus/an. L’expérience réussie avec le partenaire brésilien Randon a, indique-t-on, encouragé ACT à s’engager avec un autre leader dans la construction de bus. Un accord a été signé avec Néobus, un des plus grands carrossiers d’autocars et d’autobus au Brésil. Il est classé second après Marco Polo. Il monte ses carrosseries sur châssis Mercedes, Volvo, Volkswagen, Scania et Iveco avec une gamme complète, tels les bus de transport en commun, urbain, interurbain, touristes ou des aéroports. Ce segment, ajoute-t-on, est appelé à se développer avec, notamment, le développement de l’infrastructure routière et la forte demande de renouvellement du parc national. A rappeler que ce projet (bus) vient après celui concrétisé il y a presque deux ans déjà en partenariat avec l’autre marque brésilienne Randon sur le même site à Larbâa. Il y est fabriqué des semi-remorques, citernes, céréalières et plateaux… avec un montage en CKD. La capacité de production est de 4 semi-remorques/jour et peut aller jusqu’à 9 unités/jour. Présent dans 50 pays, Randon est le troisième constructeur mondial de semi-remorques. ACT, qui est une filiale du groupe Cevital, dirigée par Yacine Rebrab, a ainsi ressuscité de la marque brésilienne qui a déjà existé auparavant en Algérie depuis 1977, rappelle-t-on. L’objectif recherché à travers ce partenariat est de produire plusieurs modèles adaptés aux besoins du marché maghrébin et de couvrir toute la demande en matériel roulant en Algérie via un réseau de concessionnaires sur le territoire national.La Société ACT assure aussi la distribution des camions lourds et des tracteurs de la marque asiatique CAMC. Ce sont de nouveaux produits proposés à des prix attractifs.À l’occasion du 11e SIAA, ACT expose sur son site (son siège) au Palais des expositions des Pins maritimes toute sa gamme. Elle prévoit des remises intéressantes allant jusqu’à 20% sur le prix de vente des camions. Ainsi, on peut trouver un camion tracteur 4X2 de 380 chevaux à 4,6 millions de DA. Les prix des semi-remorques connaissent une baisse qui peut atteindre 10%. Une citerne pour hydrocarbures peut être cédée à 3,5 millions de DA. Quant aux prix pratiqués pour les bus, ils sont ceux du lancement, c'est-à-dire étudiés. Un bus de 35 places est affiché à 5,6 millions de DA.Selon ses responsables, ACT prévoit une garantie, assure un service après-vente et une disponibilité de la pièce de rechange, dispose d’ateliers ambulants pour garantir un dépannage de qualité et de toutes les prestations dont aura besoin la clientèle.

mercredi 4 avril 2007

Terramin: le projet zinc-plomb de Tala Hamza est "d'envergure mondiale"

Alger APS - L'entreprise australienne Terramin se réjouit de détenir un projet d'exploitation de zinc et de plomb "d'envergure mondiale" sur le site algérien de Tala Hamza (Oued Amizour, Béjaïa) où elle opère en association avec les Algériens depuis quelques mois, a indiqué le directeur général de cette société minière, Kevin Moriarty, dans des déclarations de presse transmises mardi à l'APS. "Le dernier forage exécuté par l'entreprise australienne Terramin en Algérie dans le cadre du projet de production de zinc a donné d'excellents résultats, confirmant le fait que ce projet se révèle être l'un des plus importants du pourtour méditerranéen", a souligné ce responsable dans un article publié par le journal australien "The Advertiser".

British Airways renforcera ses vols vers l’Algérie

British Airways doublera ses vols vers l’Algérie selon le responsable du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord de la compagnie aérienne britannique, Charlie Guassoub.
Ce cadre de British Airways a indiqué que le nombre de vols vers l’Algérie sera doublé pour atteindre 9 vols durant l’été prochain, indiquant que l’interruption des vols vers Hassi Messaoud a été décidée pour des raisons purement politiques, et qu’il n’y a aucun motif sécuritaire derrière cette décision.
M. Guassoub a considéré, dans une déclaration à El Khabar, que la décision de suspendre le vol destiné surtout aux travailleurs des hydrocarbures, est due au rendement faible de l’opération, qui ne répond pas aux conditions requises d’un point de vue commercial. En revanche, le responsable de la même compagnie a indiqué l’augmentation des vols aériens en direction de l’Algérie, qui ont atteint 7 vols depuis le 25 mars 2007.
M. Guassoub a ajouté que deux autres vols de British Airways vers Alger sont prévus, d’ici septembre 2007. Concernant la volonté de la compagnie de s’étendre à d’autres aéroports algériens, notamment dans les grandes villes d’Algérie, M. Guassoub a déclaré que la compagnie britannique étudie toujours la possibilité d’élargir son activité, mais cela doit se faire selon un nombre de critères relatifs au rendement commercial. El Khabar


Hydrocarbures: Participation de Sonatrach au sommet pétrolier de Paris

L’élite de l’industrie pétrolière mondiale participe jeudi prochain, à Paris, à un sommet aux airs de “mini-Opep”, où plusieurs représentants du cartel pourraient tenter de rassurer le marché, alors que la crise des otages britanniques en Iran fait de nouveau flamber les prix du brut. Le P-DG de Total, Christophe de Margerie, celui de Royal Dutch Shell, Jeroen van der Veer, ainsi que des représentants des compagnies américaine Chevron, algérienne Sonatrach et norvégienne Norsk Hydro participeront également aux trois tables rondes du sommet parisien de jeudi, qui, à l’heure de la montée du nationalisme pétrolier, tournent autour du thème symbolique de la coopération. Liberté