Wind of change in Algeria

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mardi 30 mai 2006

39e fIA: 45 pays représentés

La 39e édition de la Foire internationale d’Alger (FIA) qui se tiendra du 1er au 8 juin prochain verra la participation de quelque 45 pays, dont 34 à titre officiel, a indiqué hier un communiqué de la Société algérienne des foires et exportations (Safex), organisatrice de l’événement.
Sous le thème « Plan de soutien à la croissance économique : vecteur du développement durable », la manifestation regroupera quelque 1635 exposants, parmi eux 522 exposants algériens, selon la même source. A en croire le site électronique de la Safex, plus de 1600 firmes

animeront cette édition, dont près de 1100 firmes étrangères. La Safex dit tabler sur un demi-million de visiteurs pour cette édition. La Safex note, en outre, l’amélioration des conditions d’accueil, notamment l’augmentation « substantielle » des capacités d’exposition depuis 2005, ainsi que l’amélioration de la qualité de l’exposition et de l’environnement. Selon les chiffres de la Safex, la surface d’exposition est de 75 445 m2, la superficie de l’exposition étrangère s’élève à 28 898 m2 et la superficie de l’exposition nationale à 46 547 m2. La France participera avec 370 entreprises qui occuperont une superficie de 5 000 m2, selon la Chambre française de commerce et d’industrie (CFCIA). La Tunisie, pour sa part, sera le pays hôte d’honneur à la FIA, selon la Safex. Un pays, qui aura à exposer l’expérience tunisienne dans les secteurs du tourisme et de l’artisanat, a indiqué un communiqué de l’ambassade de Tunisie à Alger. Par ailleurs, on croit savoir, selon la Safex, que le département de Abdelhamid Temmar mettra à profit cette manifestation pour mettre à profit la promotion des investissements et des partenariats. ELWATAN

Orascom: Projet d’une usine de ciment à Mascara

Après que l’entreprise égyptienne de ciment Algerian Cement Company (ACC) s’est mise à l’exportation de sa production à l’étranger, elle envisage aujourd’hui d’ouvrir une nouvelle usine de ciment blanc (qui s’appellerait Ciba) dans la région de Oggaz, à Mascara. Le directeur général exécutif d’ACC, Boubekeur Ahmed, a affirmé, au cours de la journée de présentation du bilan 2005 des mines et carrières en Algérie, tenue hier à El Aurassi, que son entreprise compte investir pas moins de 450 millions de dollars pour ce projet. L’usine sera dotée d’une capacité de 4 millions de tonnes/an et permettra, a-t-il souligné, la création de 1000 emplois directs. Il prévoit également la réalisation d’une ligne de ciment gris qui devra coûter près de 200 millions de dollars et sera dotée d’une capacité de 1,5 million de tonnes/an. ELWATAN

Les premiers lingots d'or d'Amesmessa attendus au 2ème trimestre 2007

Alger (APS)- Les premiers lingots d'or du gisement d'Amesmessa dans le Hoggar à Tamanrasset (extrême sud du pays) seront produits au cours du deuxième trimestre 2007, a indiqué dimanche à Alger le PDG de l'Entreprise nationale de l'or (Enor), M. Ali Nouioua. Le début de l'extraction minière de ce gisement, exploité en partenariat avec la compagnie australienne "Goldmines", qui détient 52 % de l'Enor avec la compagnie nationale Sonatrach (48%), aura lieu en septembre 2006

L'Espagnole ABENER décroche le projet de la centrale électrique hybride de Hassi R'mel
LogoAlger - La société espagnole ABENER a décroché dimanche à Alger le projet de réalisation de la centrale électrique hybride (gaz et solaire) de Hassi R'mel à Laghouat (dans le sud ouest du pays) d'une capacité de 150 mégawatts, à l'issue d'une séance publique d'ouverture des offres commerciales relatives à ce projet. L'espagnole Abener a présenté une offre commerciale jugée meilleure que celle présentée par l'autre société ibérique "Cobra", obtenant ainsi le marché de ce projet, à l'issue de la séance d'attribution tenue au siège du groupe Sonatrach et conduite par le PDG de l'Algérienne des énergies renouvelables (NEAL), M. Toufik Hasni. APS

dimanche 28 mai 2006

Les plis financiers ouverts hier: Qui sera actionnaire dans CNAN-Maghreb Lines?

Les offres financières des deux entreprises étrangères ayant soumissionné pour reprendre 49% du capital social de la compagnie publique de transport maritime des voyageurs «CNAN-Maghreb Lignes», filiale du groupe CNAN ont été ouvertes, hier, à Alger par la Commission d’ouverture des plis de l’entreprise.

Il s’agit de la compagnie française de transport aérien des voyageurs «Aigle Azur», filiale du groupe GOFAST, et de la société espagnole «Tras mediterranea». Même si leur montant n’a pas été divulgué, les deux offres financières ont été «déclarées conformes aux dispositions du cahier des charges», par la commission d’ouverture des plis conduite par un membre du directoire de la Société de Gestion des Participations des transports maritimes (Gestramar).

Après l’ouverture des offres techniques, le 08 mai dernier, l’ouverture des offres financières constitue ainsi l’avant-dernière étape dans le processus de privatisation de la compagnie maritime. La commission d’ouverture des plis de l’entreprise disposera de deux semaines pour se prononcer sur l’attribution finale du marché et transmettre sa décision au Conseil des Participations de l’Etat, à qui revient le dernier mot sur la privatisation des entreprise publiques.

Pour connaître le nom de l’entreprise qui aura repris 49% du capital de la CNAN-Maghreb Lines, il faudra donc attendre la réunion du CPE qui sera présidée par le nouveau chef du gouvernement. Mais à ce jour, aucune date n’a été encore avancée pour la tenue de cette réunion.

Filiale de la Compagnie nationale algérienne de navigation (CNAN), Maghreb Lines a été créée, en juillet 2005. Disposant d’un seul car-ferry affrété, elle a réalisé en 2005 un chiffre d’affaires de quelque 1,2 milliard de DA et emploie 222 agents.

La part du marché de la CNAN-Maghreb Lines reste insignifiante devant «Algérie-ferries», l’autre compagnie publique de transport maritime des voyageurs.

En prévision de la saison estivale 2006, la compagnie a programmé 24 traversées par mois, dont 8 dessertes sur Barcelone et 16 autres sur Sète, avec une capacité moyenne de 1.100 passagers et 300 véhicules par traversée.

En plus de la CNAN Maghreb-Lines, le CPE doit également se prononcer sur la privatisation de CNAN-Méditerranée et de CNAN-Nord. Le Groupe français GOFAST, sous la coupe duquel évolue la compagnie aérienne française Aigle Azur, a soumissionné pour reprendre une partie du capital de CNAN-Nord, alors que l’italienne Dario Peroli a exprimé son intérêt pour CNAN-Méditerranée. LE QUOTIDIEN D'ORAN

L’ALGERIE CONCLUT QUATRE ACCORDS DE REMBOURSEMENT PAR ANTICIPATION
  • «La dette baissera à 5 milliards de dollars à la fin de l’année»

Moins d’un mois après la signature de l’accord multilatéral avec le Club de Paris, le 11 mai dernier, quatre accords bilatéraux de remboursement par anticipation de la dette ont été conclus par l’Algérie.

En plus de la France, le ministre des Finances, Mourad Medelci, a révélé, hier, que les Pays-Bas et le Portugal ont été les deux autres pays avec qui son département a conclu, les 22 et 20 du mois en cours, des accords similaires pour le remboursement par anticipation de la totalité de la dette rééchelonnée auprès du Club de Paris. Les montants sont de respectivement 45 millions de dollars et 20 millions de dollars. Le quatrième accord a été signé hier avec la Belgique pour un montant de 225 millions de dollars.

Selon Mourad Medelci, «le remboursement au profit de ces pays se fera le 31 du mois en cours». L’Italie sera forcément le prochain de la liste. Au rythme où vont les négociations bilatérales, le premier argentier du pays rassure que l’échéance fixée par le Club de Paris pour clore ce dossier, à savoir la fin novembre, sera respectée. Et la fin de l’année sera forcément marquée par une baisse importante de la dette extérieure de l’Algérie à, au plus, 5 milliards de dollars, selon la même source. A fin février dernier, pour rappel, celle-ci était de 15,5 milliards de dollars. La politique de désendettement menée par les pouvoirs publics, affirme Medelci, permettra au pays de consolider son économie et économiser les sommes faramineuses consacrées aux services de la dette (en moyenne de 600 à 700 millions de dollars chaque année).

Maintenant que la dette publique a trouvé solution, le département de Mourad Medelci ouvre les négociations avec le Club de Londres pour le remboursement par anticipation de la dette commerciale estimée à 1 milliard de dollars.

UN INVESTISSEMENT DES LABORATOIRES NOVONORDISK: Des antidiabétiques produits à Tizi Ouzou en septembre

Les premiers comprimés Metformine destinés au traitement du diabète type 2 sortiront de l’usine de médicaments des laboratoires Novonordisk, située à Oued Aïssi, 7 km à l’est de Tizi Ouzou, dès septembre prochain. C’est ce qui a annoncé hier M. Knud Danga, directeur d’usine, au cours d’un point de presse animé à la fin de la cérémonie d’inauguration du site à laquelle le ministre de la Santé et de la Population M. Amar Tou a pris part.

Lors de la visite de l’usine, Amar Tou a pris l’engagement avec les responsables de l’usine de leur délivrer l’autorisation d’exportation, après validation des contrôles et établissement de certificat de conformité des équipements le 10 juillet prochain. Date à partir de laquelle des essais à blanc de fabrication des médicaments débuteront, selon toujours les responsables de Novonordisk qui ont indiqué au cours du point de presse que le coût total de ce premier investissement dans tout le Nord africain et le Moyen-Orient est de l’ordre de 100 millions d’euros. Elle doit fabriquer trois gammes de médicaments, à savoir des antidiabétiques oraux, anti-cholestérol et hypertenseurs et aura une capacité de 16 millions d’unités de vente. Néanmoins pour la première phase qui consiste en la mise sur le marché de la Metformine, celle-ci tournera autour de 3 à 4 millions d’unités de vente.

Quant à la seconde phase qui consister en la fabrication des deux autres gammes de médicament précitées, elle interviendra en 2007.

Pour le lancement de la première phase, Novonordisk de Oued Aïssi a déjà recruté 36 employés et en recrutera en 2007, 64 autres en plus de 250 emplois indirects que va générer l’activité de cette usine. La part de Novonordisk en matière de commercialisation d’insuline sur le marché algérien est de 55% des besoins, selon le vice-président des laboratoires danois qui a également indiqué à la presse que l’entrée en production de l’usine de Oued Aïssi, lui permettra de réduire la quantité de médicaments importés et commercialisés en Algérie tout en soulignant que Novonordisk joue sur la qualité et le prix de ses produits pour concurrencer les autres intervenants sur le marché du médicament, notamment l’insuline en Algérie. Interrogé sur l’échec du projet de construction de l’usine d’insuline prévu initialement à Draa Ben Khedda avec les laboratoires Pierre Fabre et Saïdal, le vice-président de Novonordisk, M. Costas Piliovnis, a rappelé que la divergence se situait au niveau des objectifs des trois associés à ce projet sans omettre de signaler que ses laboratoires étaient déterminés à réaliser l’usine d’aujourd’hui dans notre pays.

La diversification de la gamme et l’extension de l’usine de Oued Aïssi n’est pas écartée pour les responsables de Novonordisk si la demande en la matière s’avère importante à l’avenir.

Pour le conférencier, réaliser une usine de médicaments en 18 mois et dans des conditions climatiques difficiles n’était pas du tout «facile» mais possible. Investir en Algérie car «nous considérons que ce pays se développe très rapidement ces dernières années», a-t-il souligné. M. Costas Mistadinis, responsable d’Aldaph, filiale algérienne de Novonordisk, a, pour sa part, fait part des perspectives de devenir de l’usine qui aura une dimension régionale pour l’Afrique et le Moyen-Orient. LE QUOTIDIEN D'ORAN

jeudi 25 mai 2006

Privatisation: Les Coréens veulent rattraper le temps perdu

Les opérateurs sud-coréens sont très intéressés par le processus de privatisation enclenché en Algérie. Certains d’entre eux ont avancé dans leurs négociations avec leurs partenaires algériens en vue d’y investir.
C’est ce qu’a révélé le vice-ministre sud-coréen du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie, Jong-Kap Kim, lors d’une conférence de presse animée, hier, à l’hôtel Hilton, à Alger. « Nous avons un intérêt très fort pour les privatisations en Algérie. Nous pensons que ce pays a fait une bonne option », a-t-il lancé. « Je suis venu à la tête d’une délégation de 72 personnes, dont des représentants d’entreprises importantes. S’ils n’étaient pas intéressés, ces hommes d’affaires n’auraient pas fait le déplacement sur Alger », a déclaré, Jong-Kap Kim. Les secteurs des travaux publics, de l’habitat, de l’électroménager, des nouvelles technologies, de l’énergie et du gaz intéressent les hommes d’affaires sud-coréens, a-t-il affirmé. Les deux pays, a-t-il souligné, ont manifesté, depuis la dernière visite en Algérie du président sud-coréen, une volonté de développer davantage leur coopération bilatérale. La République de Corée, a-t-il indiqué, souhaite promouvoir sa coopération dans un cadre global avec l’Algérie. « Nous souhaitons apporter notre soutien au processus de développement enclenché par l’Algérie. Ce que nous voulons, c’est développer des relations de coopération fondées sur la complémentarité. L’Algérie est le premier pays avec qui la République de Corée tente cette expérience de coopération complémentaire », a-t-il annoncé. La coopération que veut la Corée est basée, selon lui, sur trois principes : la participation au processus de privatisation, l’investissement ex nihilo et le partenariat avec des entreprises algériennes. Dans ce contexte, Jong-Kap Kim, qui est également chef de la commission de la coopération économique Algérie-Corée, a affirmé que le volume des échanges entre les deux pays va doubler en 2006. Il passera de 500 millions de dollars en 2005 à 1 milliard de dollars à la fin de l’année en cours. Au premier trimestre 2006, ce volume, a-t-il expliqué, a atteint déjà le chiffre de 270 millions de dollars. L’investissement coréen en Algérie n’est pas important, selon l’orateur, en comparaison avec les potentialités dont dispose le pays. Le montant des investissements coréens en Algérie se situe à environ 150 millions de dollars. ELWATAN

Remboursement anticipé de la dette Algérienne
Un accord sera signé avec la Belgique samedi prochain

Un accord de remboursement anticipé de la dette algérienne sera signé ce samedi au siège du ministère des Finances à Alger, a indiqué hier un communiqué du département de Medelci.
Cet accord porte sur un montant de 225 millions de dollars, selon une source de ce même département. Il sera signé par le ministre des Finances, Mourad Medelci, et l’ambassadeur de Belgique à Alger, note le communiqué. La Belgique sera ainsi le deuxième pays (après la France) à conclure un accord sur le principe de remboursement de la dette par anticipation avec l’Algérie. Il est à rappeler que l’Algérie a obtenu des pays créanciers du Club de Paris, les 10 et 11 mai derniers, l’accord de principe du remboursement anticipé au pair et proposé à tous ses créanciers d’une dette qui se monte à 7,9 milliards de dollars. Un accord avait été aussitôt signé avec la France pour un remboursement anticipé portant sur un montant de 1,6 milliard de dollars. Un accord qui prévoit le paiement total de cette dette le 31 mai prochain, « sans modalités », a précisé Mourad Medelci. Selon l’accord multilatéral, tous les pays créanciers concernés du Club de Paris doivent « avoir affiché, avant le 15 juin 2006, leur intention et des propositions concrètes de signature de l’accord bilatéral », selon le grand argentier du pays. Un autre accord bilatéral interviendra avec l’Italie avant cette fin du mois de mai, avait indiqué récemment l’ambassadeur d’Italie à Alger, Giovan Battista Verderame. Pour rappel, il a été conclu avec le Club de Paris que les opérations de remboursement anticipé se dérouleront, sur une base volontaire, entre le 31 mai 2006 et le 30 novembre 2006, après signature d’accords bilatéraux. Les membres du Club de Paris qui sont créanciers de l’Algérie sont l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, le Canada, le Danemark, l’Espagne, les Etats-Unis d’Amérique, la Finlande, la France, l’Italie, le Japon, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse. Selon le ministre des Finances, un autre rendez-vous est prévu en septembre prochain avec les membres du Club de Londres pour le paiement par anticipation de la dette commerciale rééchelonnée d’un montant d’un peu plus d’un milliard de dollars. ELWATAN

mercredi 24 mai 2006

OUVERTURE DU CAPITAL DE LA CNAN MAGHREB LINES: Deux compagnies étrangères en course

Lancée en septembre dernier, l’ouverture du capital à hauteur de 49% de la CNAN Maghreb Lines touche à sa fin. L’ouverture des offres financières est annoncée pour samedi prochain au siège de la Société de gestion des Participations «Transports Maritimes» (Gestramar) à Alger.

L’ouverture des plis financiers constitue l’avant-dernière étape dans le processus de privatisation qui s’achèvera au niveau du Conseil des Participations de l’Etat (CPE). «Nous allons préparer le dossier et le transmettre au CPE qui va trancher», souligne un membre du directoire de la SGP Gestramar. Aucune date n’est encore avancée pour la réunion du CPE, plus haute instance qui décide sur la privatisation des entreprises publiques et qui est présidé par le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia. Cette privatisation pourrait, toutefois, pâtir d’un changement du gouvernement de plus en plus évoqué ces derniers jours.

Spécialisée dans le transport maritime de voyageurs, la CNAN Maghreb Lines intéresse deux compagnies étrangères: Gofast de l’homme d’affaires Arezki Idjerouidene et Transméditerrania, une compagnie espagnole qui dessert déjà Oran. «La CNAN Maghreb Lines est issue de la restructuration de la CNAN. Elle a été créée en juillet 2005, emploie plus de 200 personnes et possède un seul bateau», souligne le même membre du SGP. La part de marché de CML reste insignifiante devant «Algérie Ferries», une autre compagnie publique. En prévision de l’été, la CNAN Maghreb Lines (CML) a élaboré un plan «spécial été» s’étalant de la fin du mois de juin à la mi-septembre. Ce plan comprendra, selon le directeur commercial de la CML, M. Omar Bouaouiche, 24 traversées par mois, dont 8 dessertes sur Barcelone et 16 autres sur la France, représentant une capacité totale de 1.100 places voyageurs et 300 véhicules par traversée. Ainsi, la CML prévoit le transport, pour cette saison estivale, de quelque 35.000 passagers et 11.000 véhicules, soit une augmentation de 10% par rapport à l’été écoulé qui a enregistré, selon M. Bouaouiche, 32.000 passagers et 9.300 véhicules. Ces traversées seront réalisées par le «Millenium Express», sous le nom commercial de Raïs Hamidou, entré en cale sèche pour subir un contrôle technique du 24 décembre au 8 mars derniers. Le même responsable a précisé, en outre, que les réservations sur les lignes de la CML sont ouvertes depuis la fin du mois de mars, ajoutant qu’à ce jour, 12.000 passagers et 3.000 véhicules sont déjà enregistrés. Un chiffre qui représente, selon lui, 15% du taux global prévu du remplissage. En plus de la CNAN Maghreb Lines, la SGP Gestramar s’apprête à transmettre au CPE les dossiers de privatisation de CNAN-Nord et CNAN-Méditerrannée. La CNAN-Nord dessert les USA (Houston), l’Europe du Nord (Anvers), la Turquie et le Moyen-Orient (Dubaï). Le groupe français Gofast sous la coupe duquel évolue la compagnie aérienne française Aigle Azur, a soumissionné pour entrer dans le capital de CNAN-Nord tandis la société italienne de transport maritime Dario Perioli a présenté ses offres pour prendre des parts dans le capital de CNAN-Méditerrannée.

Ces deux offres techniques ont été faites en réponse à l’avis d’appel d’offres lancé en septembre 2005 par la Société de gestion des Participations (SGP) des transports maritimes «Gestramar» pour l’ouverture du capital de 6 filiales du groupe CNAN. Le président du directoire de Gestramar, Mohamed Senoussi a fait savoir que le groupe CNAN avait déjà cédé «une bonne partie de sa flotte» et que les nouveaux partenaires auront à contribuer au renouvellement de la flotte du pavillon national. LE QUOTIDIEN D'ORAN

LES STATUTS DE LA SOCIETE SIGNES HIER: El-Andalus livrera le gaz en 2009

Après la signature en mars dernier de l’accord portant création de la société El-Andalus LNG/SPA entre Sonatrach et le consortium Repsol YPF/Gas Natural, les actionnaires ont procédé hier, au niveau de la Direction activité aval de Sonatrach Arzew, à la signature des statuts pour la mise en oeuvre de cette société. La cérémonie de signature s’est déroulée en présence du wali d’Oran, des directeurs centraux et des représentants du consortium Repsol YPF/Gas Natural.

Le contrat de mise en oeuvre de la société Al-Andalus, qui est un projet intégré Gassi Touil, a été paraphé par le vice-président aval, le Dr Abdelhafidh Feghouli, côté Sonatrach, le directeur général de Repsol YPF (Afrique-Europe-Asie) et le directeur GNL de Gas Natural, côté consortium.

Selon un communiqué de presse rendu public hier par la cellule de communication de Sonatrach activité aval, «la société Al-Andalous LNG est une société par actions de droit algérien (...), formée par les actionnaires RCH (20%), Gas Natural (32%) et Repsol YPF (48%). S’inscrivant dans la durée du projet intégré Gassi Touil (30 ans), cette SPA doit livrer le premier gaz en novembre 2009. Elle aura comme principales missions, souligne la même source, la réalisation de l’usine de liquéfaction qui sera implantée dans la zone industrielle d’Arzew, l’exploitation, avec des méthodes et des outils techniques modernes, et le management suivant des contrats de performance. A son entrée en service, elle prendra en charge la liquéfaction de gaz naturel pour une capacité de 6,5 milliards de mètres cubes.

Pour rappel, le contrat portant création de la société El-Andalus a été signé le 14 mars 2006 au niveau de la Direction générale de Sonatrach en présence de M. Chakib Khelil, ministre de l’Energie et des Mines, de MM. Mohamed Meziane, PDG de Sonatrach, et de Abdelhafidh Feghouli, vice-président de l’activité aval. LE QUOTIDIEN D'ORAN

mardi 23 mai 2006

Les atouts du pays dans le Guide investir 2006 de KPMG L’Algérie, première puissance énergétique en Méditerranée

Il est prévu d’ici à 2009, 10 millions de nouveaux abonnés en matière de téléphonie mobile et 3 millions dans le fixe.

Le guide Investir en Algérie de l’année 2006, réalisé par le cabinet algérien de conseil et d’audit financier KPMG Algérie, qualifie l’Algérie de première puissance énergétique en Méditerranée. Dans l’espace méditerranéen, le pays est, indique le document, le premier producteur et exportateur de pétrole et de gaz.
Dans le paysage énergétique mondial, souligne le document, notre pays occupe la 15e place en matière de réserves pétrolières, le 18e rang dans la production et le 12e en exportation. En 2005, les capacités de raffinage de l’Algérie ont été estimées à 22 millions de tonnes/an. Les ressources prouvées en gaz naturel placent l’Algérie à la 5e place en production et à la 3e en exportation après la Russie et le Canada. “Compte tenu de ces chiffres, l’Algérie apparaît comme un véritable géant énergétique”, relève le guide.
Forte de 50% des réserves, de 48% de la production totale et de l’“impressionnant” taux de 94% des exportations de gaz naturel, notre pays, affirme KPMG Algérie, n’a pas de rival en Méditerranée. Le domaine minier de l’Algérie, évalué à 1,5 million de km2, demeure encore largement inexploité.
Ses réserves prouvées en hydrocarbures sont de l’ordre de 45 milliards de tonnes en équivalent pétrole. Dans un autre registre, le secteur des télécommunications est, indique le guide, en plein développement, mais il continuait à accuser un certain retard en 2005 par rapport aux pays voisins. Le secteur connaît, toutefois, depuis trois ans, des mutations considérables.
La loi de juillet 2000 a supprimé le monopole en séparant les activités d’exploitations de la poste de celles des télécommunications. Le taux de pénétration de la téléphonie enregistre un essor remarquable. La télédensité globale a augmenté de moins de 5% en 2002 à 34% en 2005. L’Algérie constitue actuellement, affirme KPMG Algérie, qui assure aussi l’accompagnement en investissement, le plus gros marché des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) de l’espace euro-méditérannéen. Un programme d’équipement important a été lancé.
Il s’agit d’un investissement de 10 millions de lignes de téléphonie mobile, de 3 millions de lignes fixes supplémentaires et d’environ 3 millions d’ordinateurs pour équiper des établissements éducatifs, des banques, des collectivités, des administrations et des foyers. Une enveloppe évaluée à 50 milliards de DA est également consacrée à cet effet et ce, dans le cadre du programme complémentaire de soutien à la croissance 2005-2009.
Par ailleurs, les infrastructures de base, reconnaissent les concepteurs du guide, “sont à la dimension du territoire national, mais leur manque aussi”. Avec près de 104 000 km, le réseau routier algérien est le plus important du Maghreb avec un ratio de 3,7 km pour 1 000 habitants. LIBERTE

Sonatrach signe un contrat de vente avec Endesa

Sonatrach a signé, hier lundi (22/06), un contrat de vente de 0,96 milliard de mètres cubes de gaz avec la première compagnie espagnole d’électricité Endesa.

Le contrat, qui a été signé par le PDG de la compagnie, Mohamed Meziane, et Rafael Miranda Ceo de Endesa, porte sur 20 ans et le gaz doit transiter par le futur gazoduc Medgaz sous-marin qui doit relier directement l’Algérie (Beni Saf) à l’Espagne (Almeria). Cet accord à long terme s’inscrit dans l’objectif de transport d’un volume annuel de 8 milliards de mètres cubes à partir de fin 2008 avec une option de doublement de la capacité de ce gazoduc à une phase ultime, selon la compagnie nationale. Endesa et Sonatrach sont déjà liées par un contrat de vente et d’achat de GNL de long terme pour un volume de 1 milliard de mètres cubes, signé au mois de juin 2001.Les deux compagnies sont également actionnaires à hauteur de 21% et 10% dans le projet de regazéification de Reganosa (nord de l’Espagne). Selon Sonatrach, et par le biais de cet accord, la compagnie nationale ambitionne de concrétiser son objectif d’exportation de 85 milliards de mètres cubes à l’horizon 2010, ce qui lui permettra de consolider sa position sur le marché espagnol en tant que fournisseur fiable et sûr de long terme, contribuant ainsi à la sécurité d’approvisionnement de l’Espagne en particulier et de l’Europe en général.Sonatrach a déjà signé, en décembre 2005, deux contrats de même type avec les sociétés espagnoles partenaires du Medgaz, à savoir la compagnie pétrolière Cepsa, avec un volume de 1,6 milliard m3/an pour une durée de 20 ans, et la société d’électricité Iberdrola pour le même volume de 1,6 milliard m3/an. Le contrat signé avec Cepsa, le 17 décembre 2005, marquait le début du remplissage du gazoduc Medgaz qui aura une capacité de départ de 4 milliards de mètres cubes avant d’arriver à 8 milliards. Le reclassement du projet Medgaz, en juin 2005, par les autorités espagnoles dans la catégorie des projets prioritaires pour l’Espagne, confirme davantage son importance pour la sécurité d’approvisionnement de l’Europe et de la péninsule ibérique en particulier. Medgaz est le deuxième gazoduc qui relie l’Algérie à l’Espagne. Le premier est déjà en fonction et passe par le Maroc et le détroit de Gibraltar. Avec Iberdrola, le contrat signé le 21 décembre 2005 était le deuxième accord de vente de gaz à travers Medgaz signé en l’espace d’une semaine. Le contrat de vente signé avec Iberdrola était en réalité un accord d’accroissement des quantités annuelles du contrat de vente signé en juillet 2004 et qui portait sur un milliard de mètres cubes. C’était le premier contrat signé pour le remplissage de Medgaz. Medgaz a été créée durant l’année 2000 par les deux membres fondateurs que sont Sonatrach et Cepsa. Ils ont été rejoints par Total ,Gaz de France, BP, Endesa et l’ENI. Par la suite, l’ENI s’est retirée et elle a été remplacée par Iberdrola. Sonatrach et Cepsa détiennent 20 % chacune des parts, le reste est partagé à raison de 12 % pour chacune des 5 compagnies. EL WATAN

dimanche 21 mai 2006

L'Algérie réalise un excédent commercial de 2,6 milliards de dollars durant le mois d'avril 2006
Alger - Les échanges commerciaux de l'Algérie durant le mois d'avril 2006 se sont soldés par un excédent de 2,6 milliards de dollars, en hausse de plus de 52% par rapport au mois d'avril 2005 (1,7 md usd), selon des données recueillies samedi par l'APS auprès du Centre national de l'Informatique et des Statistiques (CNIS) des Douanes. Les exportations ont atteint 4,33 mds usd, soit une augmentation de 21,36% par rapport au mois d'avril 2005 (3,57 mds usd), tandis que les importations ont enregistré une baisse de 7,47%, totalisant 1,7 md usd contre 1,84 md usd durant le mois d'avril 2005. APS

samedi 20 mai 2006


Premier Centre d’affaires à Birkhadem: Un complexe à 120 millions de dollars

Après l’annonce, en avril dernier, du lancement de la construction du Quartier des affaires de Bab Ezzouar (un projet au budget astronomique : 300 millions de dollars, lancé par le président de la République, lors de sa virée algéroise), le groupement Cosider s’engage dans la construction d’un complexe multifonctionnel, autrement dit, un centre des affaires à Birkhadem, à quelques bornes du carrefour la Concorde.

Une entreprise qui n’en est pas moins importante en termes d’enveloppe financière : 120 millions de dollars sont destinés à son financement. Selon Ali Bourahla, directeur adjoint à Cosider, les premiers travaux devraient être entamés en juin prochain. « Nous sommes dans une phase décisive, dit-il. Le cahier des charges est actuellement en préparation (...) Et au début de mois de juin, les travaux seront entamés et ce pour un délai de réalisation de 30 à 36 mois. Il coûtera entre 100 et 120 millions de dollars. » L’exécution du projet se fera avec un partenaire public libyen, Lafico Algérie en l’occurrence. Pour M. Bourahla, l’idée de se lancer dans une telle opération remonte à 2001. « Nous sommes les premiers à initier ce type de projets », affirme non sans fierté le responsable. Il explique qu’« à l’époque, il n’y avait pas de plan de relance, il fallait à Cosider maintenir son outil en activité. Elle a donc essayé de créer son propre plan de charge en initiant un tel projet ». Ce dernier, désigné par ses concepteurs comme un complexe multifonctionnel, pour le distinguer des « banals centres d’affaires », intègre en son sein 4 fonctions : un centre d’affaires, un centre touristique, un hôtel 5 étoiles, et des espaces dédiés aux commerces et aux loisirs. Un tiers de la superficie est consacré à la partie affaire, soit 30 000 m2, les deux tiers restants sont pour l’hôtellerie et l’ensemble commerce et loisirs. L’hôtel, une tour de 27 étages (+ 5 niveaux en souterrain), la plus haute du pays, sera exploité par une filiale du groupe Cosider construction et permettra, selon le directeur adjoint, de créer environ 300 emplois permanents. Pourquoi un tel projet ? Est-ce un effet de mode ou une opération économiquement avantageuse ? Les études de rentabilité financière qui ont été faites, soutient M. Bourahla, montrent que c’est l’un des rares projets à permettre un retour d’investissement en moins de sept ans. Comment ? En présentant un produit qui n’existe pas : « L’hôtellerie de luxe, nous en manquons (...) C’est un marché ouvert. Nous sommes en plein boom de l’activité secondaire libérale. C’est ce créneau que nous visons, des petits sièges d’entreprise, des représentations, etc. ! C’est un produit que nous comptons financer avec une banque, il n’y aura pas de vente donc pas de réservation ». Catégorique, le responsable de Cosider considère que ce projet de complexe aura certainement un « impact positif sur toute la région ». Le choix de l’emplacement à Birkhadem est justifié par les créateurs du futur complexe par sa proximité des sites importants de la capitale. « Pour un centre d’affaires, on ne peut pas être mieux situé, se félicite Bourahla. C’est à la croisée de deux autoroutes, à 10 mn de l’aéroport d’Alger, de la ville et des ministères. » EL WATAN

vendredi 19 mai 2006

L’insuline fabriquée par Saidal disponible sur le marché

Les premiers lots d’insuline « Insudal », fabriqués par l’unité de production de SAIDAL à Constantine sont disponibles dans les sites de distribution, a annoncé hier le groupe Saidal.
Le groupe a précisé, dans un communiqué, que ces lots destinés à la commercialisation, ont été réceptionnés mercredi au niveau des centres de distribution de l’entreprise.
« Depuis son inauguration, l’usine a constitué un stock suffisant pour assurer la disponibilité permanente du produit », a encore indiqué le groupe. L’Insudal, mise sur le marché avec des « prix défiant toute concurrence à 440 dinars, est disponible au niveau des sites de distribution », a-t-on précisé.
Le 16 avril dernier, l’unité de production d’insuline, conçue pour produire trois types de ce médicament à raison, annuellement, de 5 millions d’unités vente (U.V.) en forme injectable, avait été inaugurée par le Président de la République,
M. Abdelaziz Bouteflika, rappelle-t-on.
« La réduction de la facture d’importation de ce produit » nécessaire, selon des estimations, à plus d’un million de personnes diabétiques (insulino-dépendant) en Algérie, ainsi que l’assurance d’une disponibilité permanente de l’insuline, caractérisent la nouvelle unité inaugurée par le chef de l’Etat à Constantine. Le président Bouteflika avait insisté pour que les besoins de l’Algérie en insuline soient effectivement couverts à 100 % par cette usine. EL MOUDJAHID

Khelil : “L’Algérie a exporté pour 11 milliards de dollars vers les États-Unis en 2005”

“Notre coopération avec les États-Unis dans les hydrocarbures est positive. Nous voulons mettre à profit cela pour élargir notre coopération dans des domaines aussi vastes que la pétrochimie, l’électricité, la transformation du gaz, le dessalement d’eau de mer, les services pétroliers, les énergies nouvelles, les ressources humaines, le transfert de technologies et de nouveaux process, et bien d’autres domaines”, a déclaré M. Khelil, en marge du forum sur l’énergie organisé mardi à Washington par le Conseil d’affaires États Unis-Algérie (US- ABC).
Interrogé sur l’importance de la coopération bilatérale dans le secteur de sa compétence, il a indiqué qu’en 2005, les importations américaines d’Algérie, tous produits pétroliers et gaziers confondus, avaient totalisé plus de 11 milliards de dollars. C’est notre plus gros partenaire.
Nous avons livré au marché américain quelque 3,5 milliards de mètres cubes de GNL, en 2005, représentant 5% de ses approvisionnements et environ 450 000 barils/jour tous produits pétroliers, a précisé
M. Khelil, ministre de l’énergie et des mines. Notre stratégie est de ne plus être seulement des vendeurs de pétrole et de gaz, mais un partenaire impliqué dans le développement des potentialités que recèle l’Algérie et une partie prenante, d’amont en aval, y compris dans les pays consommateurs et dans des créneaux comme la production, la transformation, la commercialisation ou la distribution, soutient M. Khelil, rappelant que la Sonatrach est déjà présente à l’international sur plusieurs marchés. “Aux États-Unis, ce qui nous intéresse c’est que les sociétés qui travaillent avec nous en Algérie nous donnent l’opportunité de nous associer avec elles sur différents segments, comme la transformation du gaz, la production, la commercialisation ou la distribution”, a-t-il dit.
“Nous sommes en discussion pour une participation à des projets de terminaux gaziers dans le golfe du Mexique ou au Canada pour approvisionner le continent américain, souligne M. Khelil, pour qui, l’important est d’impliquer et d’intéresser les Américains à investir hors-pétrole et gaz en Algérie. LIBERTE

L’opérateur historique investira 500 millions de dollars en 2006

L’opérateur historique Mobilis totalise, dira son P-DG, El-Hachemi Belhamdi, plus de 6 millions d’abonnés actifs et prévoit d’atteindre 7 millions d’ici fin 2006.
L’opérateur public compte, aujourd’hui, 25 000 abonnés au service GPRS permettant l’accès Internet à haut débit et l’envoi de messages multimédias, a-t-il confié. Mobilis prévoit d’investir, a-t-il indiqué, près de 36 milliards de DA en 2006.
L’Algérie compte, aujourd’hui, 16 millions d’abonnés au réseau mobile contre 54 000 clients en 2000, soit une télédensité téléphonique de 54%. LIBERTE

Deux soumissionnaires étrangers pour l’achat d’une part majoritaire du capital de la COTA

Alger, (AAI)- Deux opérateurs étrangers, SGS-Suisse et Ivesur-Espagne, ont soumissionné, hier à Alger, dans le cadre de la cession d’une part majoritaire du capital social de l’Entreprise de contrôle technique automobile (COTA).
Les deux offres ont été déclarées "conformes aux prescriptions du cahier des charges", par la commission d’ouverture des plis techniques.
Ivesur est une entreprise de services en matière de sécurité routière qui assure 50% du marché espagnol. Elle est également présente dans quatre pays d’Amérique du Sud, selon son représentant.
De son côté, SGS-Suisse est leader mondial dans le domaine de l’inspection, vérification de l’analyse et de la certification. Il est implanté dans 140 pays, dont l’Algérie.
L’entreprise COTA, basée dans la zone industrielle de Rouiba, dispose de 21 stations et est présente dans 18 wilaya. Elle intervient sur le marché émergent du contrôle technique des véhicules légers et lourds, devenu obligatoire depuis l’année dernière pour tous les types de véhicules. Ses principaux actionnaires sont la Société nationale des transports routiers (SNTR), l’Entreprise de transport de voyageurs de l’Est (TVE) et la Société de gestion de la gare routière d’Alger (SOGRAL).

mardi 16 mai 2006

Véolia Transport s’intéresse au marché du transport algérien

Alger, (AAI)- Le groupe privé français Veolia Transport compte investir en Algérie, en mettant en service dès juillet prochain, la ligne de transport routier Alger-Oran, a annoncé hier son représentant en Algérie, Alain Descamps, en marge d’un séminaire de deux jours sur la promotion et le développement du transport de voyageurs en Algérie, organisé à l’hôtel Sheraton Club-des-Pins (Alger).
L’exploitation de la ligne Alger-Ghardaïa est aussi sur les tablettes du groupe privé français, présent en Algérie depuis une année, puisqu’il compte soumissionner pour la reprise de la société Sogral (Société de gestion de la gare routière d’Alger) et de quelques unités de l’ex-TVO (Entreprise de transport de voyageurs de l’Ouest).
Ce groupe mondial de transport, qui a d’autres projets, compte appliquer en Algérie une recette ayant donné grande satisfaction à Bogota en Colombie qui est de fédérer les transporteurs publics privés.
Le groupe a également un intérêt pour assurer la formation des personnels appelés à travailler dans les futures grandes infrastructures (trains de banlieue, tramways, métro,).
“Nous sommes intéressés par l’ensemble des grands projets d’infrastructures. On compte aussi former des gens » a affirmé le même responsable.
Le groupe Veolia transport, premier opérateur privé européen de transport public de voyageurs, est présent dans 25 pays, transporte 2,5 milliards de voyageurs/an.

lundi 15 mai 2006

Marché obligataire: Sonelgaz lève près de 12 milliards de DA en une journée

LogoAlger - La Société algérienne de l'électricité et du gaz (Sonelgaz) a lancé dimanche un emprunt obligataire institutionnel et réussi à lever 11,65 milliards de DA (173 M$), a annoncé la société dans un communiqué. Ce montant se répartit en 6 milliards de DA, remboursables en 9 ans à un taux d'intérêt de 4,65 % et 5,65 milliards de DA remboursables en 11 ans au taux de 4,85 %. C'est le troisième emprunt obligataire institutionnel (non ouvert au grand public) que Sonelgaz lance depuis 2004 pour un montant total levé de 41,65 milliards de DA, arrêté à ce jour. APS

KPMG Algérie lance le guide « Investir en Algerie »

KPMG Algérie, cabinet international spécialisé dans l’audit et l’accompagnement de l’investissement, lance la réédition 2006 de son Guide " Investir en Algérie”. Ce guide, édité depuis 2004, réunit l’ensemble des connaissances actuelles sur les modalités d’investissement applicables sur le marché algérien.
Dans ce contexte, il constitue l’outil indispensable à la communauté des affaires algérienne et étrangère dans la conduite de leurs affaires. "KPMG applique à travers ce guide la pratique du pensez global, agissez local qui fait sa force partout dans les 160 pays où il est implanté", a expliqué Jean-Marie Pinel, P-DG de KPMG Algérie. "Nous cherchons à rassembler et commenter l’information disponible sur le marché algérien et aider ainsi les potentiels investisseurs à profiter pleinement de l’ouverture que connaît le pays", a-t-il ajouté. KPMG Algerie assiste ses clients à tous les niveaux de leur développement, de la décision d’investir jusqu’à la certification internationale de leurs comptes, en passant par l’assistance, au rachat d’entreprise et la mise en place d’un business plan. EL WATAN

dimanche 14 mai 2006

DES HOMMES D’AFFAIRES SUISSES EN PROSPECTEURS

Un accord de non-double imposition signé en juin

L’ambassadeur de Suisse à Alger, M. Michel Gottret, a annoncé, hier(13/05/06), lors d’une rencontre tenue au siège de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) entre des hommes d’affaires algériens et une mission de la Chambre arabo-suisse de commerce et d’industrie, qu’un accord de non-double imposition devra être signé en juin entre les deux pays.

L’accord en question est finalisé et serait signé «dans les prochaines semaines», probablement en juin, a précisé le diplomate suisse. Cet accord viendrait compléter la convention sur la promotion et la protection réciproque des investissements entre les deux pays qui avait été signée en novembre 2004, à l’occasion de la visite à Berne du président de la République. La Suisse envisage de créer «une synergie de partenariat» avec ses opérateurs économiques pour leur permettre de venir investir en Algérie, a souligné l’ambassadeur suisse. Il a aussi révélé qu’il existait un «important potentiel d’entrepreneuriat à exploiter» entre les deux pays malgré la modestie de l’économie suisse par rapport aux autres grands partenaires de notre pays.

L’ambassadeur a signalé que des organes suisses d’aide au développement envisagent sérieusement d’intensifier leurs activités économiques dans notre pays qui recèle de grandes potentialités dans différents secteurs. Il a mentionné, dans ce contexte, l’Organisme suisse pour la facilitation des investissements (SOFI) et du Programme suisse pour la promotion des importations des pays émergents (SIPPO).

Prenant la parole, le nouveau président de la CACI, M. Bendjaber, a signalé, de son côté, que la rencontre vise à renforcer les «liens d’amitié et de coopération ancrés dans l’histoire des deux pays». Pour le patron de la CACI, il s’agit maintenant d’intensifier la coopération économique intensive entre les deux pays. M. Bendjaber a souligné, dans son intervention, que les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint en 2005, 469 millions de dollars avec une hausse de 34% par rapport à 2004 (349 millions USD).

Les exportations algériennes vers la Suisse ont ainsi progressé de 75% en 2005 pour atteindre 232 millions de dollars contre 133 millions de dollars enregistrés en 2004. Les importations algériennes en provenance de Suisse durant le même exercice ont atteint quant à elles 237 millions de dollars alors qu’elles étaient de 216 millions une année auparavant, soit une évolution de 10%. Les importations de notre pays sont constituées de biens d’équipement industriel (42%), de produits alimentaires (20%) et de biens de consommation non alimentaire (17%). D’ailleurs, les importations agricoles en provenance de la Suisse ont été estimées en 2005 à 25 millions de dollars et étaient constituées particulièrement de céréales et de produits laitiers. Il est à noter que deux exposés sur le marché pharmaceutique et l’état des lieux du secteur agricole en Algérie ont été présentés à l’occasion de la rencontre d’hier.
D’après un responsable au ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière, le marché pharmaceutique algérien représente actuellement quelque 1,32 milliard d’euros dont 75% représentent des importations. L’industrie pharmaceutique suisse est l’une des plus importantes au niveau mondial. LE QUOTIDIEN D'ORAN

jeudi 11 mai 2006

Signature de l'accord algéro-français pour le remboursement anticipé de la dette

Paris - Le ministre des Finances, M. Mourad Medelci et son homologue français M. Thierry Breton ont signé jeudi à Paris un accord bilatéral pour le remboursement de la dette algérienne rééchelonnée. L'accord prévoit le paiement d'une dette d'un peu plus de 1,6 milliard de dollars le 31 mai prochain, "sans modalités", a précisé M. Medelci. Cet accord bilatéral intervient dans le cadre de l'accord multilatéral signé jeudi matin entre M. Medelci et le Club de Paris pour le remboursement anticipé d'une dette d'environ 8 milliards de dollars. APS

Algérie-Club de Paris: signature d'un accord multilatéral pour le remboursement anticipé de la dette
Paris - L'Algérie et le Club de Paris ont signé tard dans la nuit de mercredi à jeudi un accord multilatéral pour le remboursement anticipé de la dette algérienne rééchelonnée. "Le principe du remboursement anticipé au pair et proposé par l'Algérie à tous les créanciers du Club de Paris a été accepté ", a annoncé un communiqué de ce Club à l'issue de négociations qui se sont achevées au-delà de minuit. APS

Remboursement de la dette par anticipation: La demande algérienne étudiée par le Club de Paris

Le ministre des Finances, Mourad Medelci, est à Paris pour participer à une réunion du Club de Paris. Ce dernier a inscrit dans l’ordre du jour de cette session la proposition algérienne, introduite officiellement en mars dernier, pour le remboursement par anticipation de sa dette envers les pays membres du club.

M. Medelci discutera du remboursement par anticipation de la dette rééchelonnée à hauteur de 8 milliards de dollars environ, sur un stock de 15,5 milliards de dollars représentant la totalité de la dette extérieure algérienne actuelle. Ces négociations pourraient aboutir à la signature d’un accord multilatéral qui, précise-t-on dans un communiqué du ministère des Finances, sera mis en œuvre avec chacun des pays dans le cadre de conventions bilatérales. En principe, le grand argentier du pays va jouer sur du velours eu égard à la position financière actuelle du pays qui est favorable, ce qui donne une grande marge de manœuvre à la délégation conduite par le ministre des Finances. L’annulation totale de la dette russe d’un montant de plus de 4 milliards de dollars et des réserves de changes qui ont atteint les 62 milliards de dollars confortent les négociateurs algériens dans leur démarche. Les pays membres du Club de Paris de leur côté semblent enclins à donner une suite positive à la demande algérienne. Lors de leur réunion dans la capitale française le 5 avril dernier, ils avaient conclu qu’« il n’y avait pas d’objection de principe à la demande formulée par l’Algérie ». Selon un responsable du ministère des Finances cité par l’agence APS, le choix du mois de mai pour entamer les consultations avec le Club de Paris n’est pas fortuit. « Le paiement du service de la dette au titre de l’année 2006 arrive à échéance à la fin de ce mois », a-t-il expliqué.
Le Club de Londres saisi en novembre

L’Algérie est déterminée, a-t-il ajouté, à « avancer d’une manière considérable durant l’exercice en cours dans la dynamique de désendettement qu’elle a adoptée », d’autant plus que les négociations avec le Club de Londres pour le paiement par anticipation de la dette privée sont prévues en septembre prochain, étant donné que, là aussi, la prochaine échéance de paiement du service de la dette privée auprès de ce club est fixée pour septembre 2006. Dans ce cas, la demande algérienne concerne le remboursement anticipé de la dette commerciale rééchelonnée auprès des créanciers privés à hauteur de 1 milliard de dollars. M. Medelci avait indiqué à ce propos que la Banque d’Algérie gérait ce volet « dans des conditions qui permettront probablement, d’ici à la fin de l’année, d’opérer le paiement anticipé ». Dans le sillage de la politique de désendettement qu’elle a adoptée, l’Algérie a cessé d’emprunter et les dettes existantes ne représentent que les emprunts contractés avant l’année 2005. La dette extérieure de l’Algérie s’est établie à 15,5 milliards de dollars à fin février 2006, contre 21,4 milliards de dollars à fin 2004, soit une baisse de 6 milliards de dollars en 14 mois. Entre 1985 et 2005, le pays aura versé un montant de 117,9 milliards de dollars dont près de 84 milliards de dollars de remboursement du principal et 34 milliards de dollars pour les intérêts. M. Medelci sera reçu par son homologue Thierry Breton au siège du ministère des Finances français à Bercy pour évaluer les principaux résultats de la visite du ministre français à Alger en novembre 2005. Visite qui s’est soldée par la signature de plusieurs accords importants. EL WATAN

Sonatrach annonce une nouvelle importante découverte d’hydrocarbures à Berkine

La société nationale des hydrocarbures Sonatrach a annoncé, hier, avoir réalisé par ses propres moyens une importante découverte d’hydrocarbures (pétrole brut, gaz sec et condensat), sa cinquième depuis le début de l’année en cours.
Selon les données du communiqué de Sonatrach, cette découverte réalisée dans le bassin de Berkine au niveau du bloc 405 a (puits West el Merk Nord-1), a donné d’“excellents résultats” avec un débit de 444.000 m3/jour de gaz, de 800 barils/j d’huile et de 500 barils/j de condensat. “Ce résultat confirme l’important potentiel en hydrocarbures dans cette partie du bassin de Berkine, qui continuera à faire l’objet d’une intense activité d’exploration et de délinéation au cours de l’année 2006”, souligne Sonatrach. dans un communiqué.
La société nationale a déjà réalisé depuis le début de cette année quatre découvertes en effort propre dans les bassins d’Amguid Messaoud, de Berkine (2) et de oued Mya (wilaya d’Ouargla). Cette nouvelle réalisation porte le nombre de découvertes obtenues durant les cinq premiers mois de 2006 à 10 contre seulement 8 pour toute l’année 2005. Les cinq découvertes réalisées en association avec des partenaires étrangers concernaient les bassins d’Illizi (2), Reggane (1), Berkine (1) et Timimoun (1). Sonatrach a tracé pour 2006 un programme global d’exploration, à concrétiser en effort propre et avec ses associés, grâce aux contrats de recherche et d’exploration en vigueur. Ce programme prévoit le forage de 90 puits pour un investissement de 1,2 milliard de dollars, dont 700 millions de dollars par Sonatrach. EL MOUJAHID

mercredi 10 mai 2006

Développement du pole technologique de Sidi-Abdallah
L'émirati Dubaï Holdings veut y réaliser des immeubles intelligents

Plusieurs entreprises nationales et étrangères ont manifesté, confie Sid-Ahmed Kerkouche, conseiller directeur général de l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques, leur intention d’investir dans la nouvelle ville technologique de Sidi-Abdallah. Et pour cause, trois délégations d’opérateurs économiques ont visité dernièrement le projet du cyberparc de Sidi-Abdallah en l’espace de quelques jours. Les émiratis comptent apporter, selon des sources concordantes, leur savoir-faire dans la gestion et la réalisation d’immeubles technologiques intelligents à l’instar de Media Internet City implantée à Dubaï. Le groupe Dubaï Holding, qui a réalisé ce pôle technologique, est intéressé par le cyberparc de Sidi-Abdallah.
Du côté des entreprises algériennes, l’opérateur historique Algérie Télécom a réservé, déjà, une passerelle de terrain de 15 000 m2 pour la réalisation d’un call center employant 500 personnes et d’un grand centre technique, a-t-il indiqué. Le cyberparc de Sidi-Abdallah intéresse, également, le deuxième opérateur privé Wataniya Télécom Algérie et Algérie Poste.
Le premier responsable de ce projet a souligné, par ailleurs, que “nous avons sollicité une enveloppe financière supplémentaire pour la réalisation de ce projet dont le montant d’investissement s’élève à 2 milliards de DA soit l’équivalent de 130 millions de dollars”. Et d’ajouter : “Nous avons consacré près de 200 millions de DA pour la réalisation des études techniques portant sur les différents sites prévus dans ce projet dont l’incubateur, un hôtel d’affaires et l’auditorium.” Le cyberparc de Sidi-Abdallah permettra de créer, avoue M. Kerkouche, plus de 5 000 emplois dans un premier temps. Une fois ce projet achevé, le nombre d’emplois atteindra 20 000 postes, a-t-il affirmé. Il a soutenu que “l’immeuble multilocataires du cyberparc sera opérationnel d’ici juin 2007”. Cet immeuble est réalisé, dira-t-il, par la société turque Kontek pour un montant de 25,6 millions de dollars. Les travaux de contrôle et de suivi du projet sont confiés, a-t-il noté, au centre de contrôle technique (CTC) Est. L’opérateur public Algérie Télécom a offert gratuitement deux stations VSAT au cyberparc de Sidi-Abdallah en vue d’assurer une connexion Internet à haut débit pour les entreprises installées sur ce site. L’hôtel d’affaires et l’auditorium seront réalisés, a-t-il précisé, par la société chinoise CSCCE alors que le centre de développement des technologies de l’information et de la communication est confié à l’entreprise turque Atlas. Le siège de l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques sera construit par la société allemande MW Zander.
Pour Sid-Ahmed Kerkouche “le taux de connexion au réseau Internet atteindra 40% et la télédensité téléphonique globale sera de 83% d’ici fin 2010”.
François Loos : “Les entreprises françaises intéressées”
Le ministre français délégué à l’Industrie, M. François Loos, a visité, hier, en compagnie de Boudjemâa Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, le projet du cyberparc de Sidi-Abdallah. Il a déclaré : “Je suis persuadé que l’Algérie bouge vite notamment dans le secteur des télécommunications et les entreprises françaises sont intéressées par ce genre d’investissement, car ce pôle technologique permet d’avoir un cadre de travail agréable.” Le ministre français a expliqué que “le gouvernement a demandé aux entreprises françaises de se développer davantage en Algérie, mais la dernière décision revient toujours aux responsables des sociétés privées”, en estimant que “les Français n’ont pas déserté le marché algérien puisqu’il y a 350 entreprises qui participent chaque année à la Foire internationale d’Alger, d’autres qui investissent dans la production et certaines sociétés qui veulent acheter des entreprises algériennes”.
Il y a lieu de rappeler que le ministre français a rencontré, aussi, le ministre de l’énergie et des Mines, Chakib Khelil, avec qui il a évoqué les relations économiques notamment dans le domaine énergétique
. LIBERTE

mardi 9 mai 2006

Sonatrach - Medex Petroleum North Africa Ltd: une nouvelle découverte de gaz dans le périmètre Erg Issaouane.
Sonatrach et Medex Petroleum North Africa Ltd annoncent la mise en évidence d’une découverte de gaz dans le périmètre Erg Issaouane, situé dans le bassin d’Illizi (blocs 226-229b) à la suite du forage du puits Isarène Sud (ISRS-1).

Le test effectué dans le réservoir Dévonien Supérieur F2 (intervalle 871-877m) a débité 100 000 m3/j de gaz sur duse ½ avec une pression en tête de 923 Psi.

Cette découverte réalisée dans un réservoir peu profond vient confirmer le potentiel du bassin d’Illizi (Sud-Est de l’Algérie).

C’est la cinquième découverte réalisée cette année en partenariat après celles de TEN-1 dans la bassin d’Illizi, SALI-1 dans le bassin de Reggane, LES-3 dans le bassin de Berkine et MJB-3 dans le bassin de Timimoun et porte à neuf (09) le nombre total des découvertes réalisées depuis le 1er janvier 2006 en Algérie.(Bulletin de presse- Snatrach)

lundi 8 mai 2006

Il compte le construire avec 500 millions de dollars à Jijel: Le groupe Américain « Panorama » propose le projet « Selle d’El Aouana »

Une délégation du groupe Américain des affaires et de l’hôtellerie a exposé le projet d’investissement touristique qu’elle compte réaliser dans la région d’El Aouana dans l’ouest de Jijel qu’elle a appelé « Selle El Aouana » et ce devant les autorités de la wilaya et un représentant du Ministère du Tourisme.
L’exposé technique et financier qui à été donné a l’hôtel de la Wilaya par le président ainsi que par un certain nombre de membre du groupe Américain a comporté un projet d’un ensemble d’hôtels et de villas touristiques d’une capacité globale estimée a 5 mille lits comportant également quelques espaces de distraction ainsi que des terrains de golf reliés a un port de plaisance avec des quais d’une capacité de 400 bateaux de plaisance ainsi que d’autres espaces qui seront réservés aux bateaux touristiques. Le premier coût de parachèvement de ce projet est de 500 millions de dollars, qui va permettre la création de 15 milles postes d’emplois durant la période de son activité.
Le choix des responsables du groupe Américain, de réputation internationale, s’est porté sur une plage située au centre de la région de l’expansion touristique « El Aouana » et de « Arbid Ali » a coté de « Ouadi Bourchaid » et c’est le site qui a fait objet de la visite de la délégation Américaine hier.
Il est à noter que les responsables du groupe Américain « Panorama » ont visité a deux reprises la région de Jijel, et ont montré qu’ils étaient intéressés par la construction des projets d’investissements dans le domaine touristiques sur la bande ouest du littorale de la wilaya de Jijel notamment dans les régions d’ «El Aouana » et de « Ziama El Mansouria » EL KHABAR

samedi 6 mai 2006

TELEPHONIE MOBILE: Motorola s’installe à Alger
Estimée à environ 10% actuellement, la part de marché de Motorola est appelée à grimper à 25, voire à 30%, selon l’objectif que se sont fixés les responsables de la région Afrique du Nord du fabricant américain de téléphonie mobile.

Motorola a organisé, jeudi, un séminaire de formation en télécommunications à l’attention de journalistes de la presse écrite et audiovisuelle. A cette occasion, le directeur de la région Afrique du Nord et Sahel, Mohamed Taj (Maroc), a annoncé que Motorola compte ouvrir une représentation en Algérie afin d’améliorer les ventes de téléphones portables dans un pays qui connaît, depuis 3 ans, un boom de la consommation dans la téléphonie mobile. Avec près de 16 millions d’abonnés GSM, le marché algérien est l’un des plus attractifs de la région. En effet, si annuellement au moins 1% des abonnés changent d’appareils, cela constitue un marché d’environ 160.000 unités. En 2e position après Nokia, Motorola veut donc élargir sa part de marché en ciblant particulièrement des clients des mobiles d’entrée de gamme et de moyenne gamme. La formation de jeudi était axée sur la vision futuriste de Motorola dans le domaine de la téléphonie à travers le concept de la «Mobilité sans interruption» qui permet aux utilisateurs qui le veulent, d’être constamment connectés et informés depuis chez eux et jusqu’au bureau ou ailleurs dans leurs déplacements. LE QUOTIDIEN D'ORAN

L’APPEL D’OFFRES SERA LANCE EN ETE: Huit banques étrangères intéressées par le CPA.

L’appel d’offres national et international pour l’ouverture de capital du Crédit populaire algérien (CPA) sera lancé en juillet ou, au plus tard, en août prochain. C’est ce que nous a déclaré le ministre délégué chargé de la Réforme financière, jeudi, en marge d’une cérémonie de signature d’un accord de partenariat entre la Société interbancaire de formation (SIBF) et le Centre de formation de la profession bancaire (CFPB).
Selon Karim Djoudi, le processus suit normalement son cours et la banque d’affaires chargée de la privatisation de la première banque publique est en phase d’évaluation pour ensuite passer à l’élaboration du cahier des charges auquel doivent répondre les soumissionnaires. Et sur ce point précis, le ministre nous a indiqué que «le CPA suscite un intérêt très fort», sans en dire plus. Mais, et selon des sources très proches du dossier, on apprend qu’il y aurait au moins huit banques de renommée internationale que l’ouverture du capital de la banque étatique intéresse particulièrement. Les françaises Société Générale et BNP Paribas en font partie.

S’agissant du taux d’ouverture de capital, les pouvoirs publics ont, en fin de compte, opté pour les 51%. Rappelons dans ce cadre que la première opération de privatisation du Crédit Populaire Algérien et qu’a chapeautée la Banque mondiale, s’est soldée par un échec. En fait, à l’époque, le gouvernement avait refusé l’option d’une ouverture à 51% telle que proposée par les experts de la BM. Le CPA aura, selon les prévisions de la tutelle, eu son partenaire d’ici la fin de l’année en cours. L’ouverture de capital de la Banque de développement local (BDL) devra suivre, selon Karim Djoudi. Mais cela ne sera pas dans l’immédiat. Le ministre soutient qu’il faut être «pragmatique» et attendre les résultats de la première opération avant d’en enclencher une deuxième.

Revenant également sur l’ensemble du processus de la réforme financière qui connaît une accélération ces deux dernières années, le ministre a rappelé que l’option de privatisation de quelques banques publiques s’inscrit justement dans une démarche d’amélioration de la gouvernance des banques. Outre l’ouverture de capital dont le processus a commencé, il a été question de doter ces institutions de comités d’audit. Leur mission est de contrôler les banques. L’autre volet qui a pris une importante avancée est celui de la modernisation du système de paiement. Un système qui garantit, rappelle le ministre, «la sécurité, la traçabilité et la rapidité» de toutes les opérations monétaires. Il est actuellement en stade de test, indique Djoudi, et son entrée en vigueur et sa généralisation devra se faire «vers le mois de juin prochain». Le seconde étape portera, selon notre source, sur le développement de la monétique.

Outre ces chantiers, le département de Djoudi a travaillé sur l’élaboration d’importants textes réglementaires tels que les lois sur le capital investissement, les assurances, le leasing...

Le ministre délégué chargé de la Réforme financière a, par ailleurs, mis l’accent lors de son intervention à la cérémonie de signature de l’accord entre la SIBF et le français CFPB, sur l’importance que revêt la formation dans le processus de réforme. Le directeur général du CFPB, Robert De Massy, a estimé que «la conclusion d’une telle coopération n’aurait été possible sans la volonté de l’ensemble de la profession bancaire et sa conviction du rôle important de la formation dans le développement du secteur».

De son côté, le DG de la Société interbancaire de formation, Lotfi Aït Mokhtar, a expliqué que les formations qui sont destinées à tous les cadres et agents de toutes les banques qui opèrent en Algérie devraient commencer dès septembre prochain. L’accord conclu prévoit des formations complètes de deux années dans une première étape. Il sera question, par la suite, d’offrir des stages dans des segments plus ciblés. Il est utile de savoir que la SIBF a formé en 2005 quelque 6.000 cadres et agents. Selon son DG, «le processus des réformes engagées dans le secteur bancaire et l’ouverture de l’économie nationale sur le reste du monde ont conduit la SIBF à s’ouvrir sur les perspectives de la coopération et de partenariat avec des organismes étrangers».LE QUOTIDIEN D'ORAN

vendredi 5 mai 2006

Les réserves de change de l'Algérie ont atteint un nouveau record fin mars 2006
ALGER (AP) -- Les réserves de change de l'Algérie ont atteint un nouveau record de 62 milliards de dollars à la fin du mois de mars dernier, a annoncé jeudi à Alger le ministre algérien des Finances, Mourad Medelci.
Devant les députés, il a précisé que ces réserves étaient de 61 milliards de dollars fin février et de 56,18 milliards de dollars fin 2005.
Ce nouveau record est atteint, à la faveur de l'envolée des prix du pétrole sur le marché mondial, alors que l'Algérie s'apprête à négocier avec le Club de Paris le remboursement par anticipation de 8 milliards de dollars de sa dette extérieure, actuellement estimée à 13,5 milliards de dollars. AP

jeudi 4 mai 2006

Sonatrach - First Calgary Petroleum Limited: Découverte de pétrole brut dans la périmètre de Ledjmet.
Sonatrach et First Calgary Petroleum Limited annoncent la mise en évidence d’une découverte de pétrole brut dans la périmètre de Ledjmet, bloc 405b situé dans le bassin de Berkine suite au forage du puits LES-3.
Ce puits de délinéation foré sur la structure de Ledjmet sud a mis en évidence une accumulation d’hydrocarbures au niveau du Trias Arilo-Gréseux Inférieur (TAGI) isolée par rapport à celles reconnues par les deux premiers forages sur cette structure.
Le forage a été arrêté à la profondeur de 4.480m dans le Gédinnien après avoir traversé tous les objectifs prévus.
Le test effectué sur le réservoir TAGI a donné les résultats suivants, sur duse 24/64’’:
- Débit d’huile = 12 m3/h
- Débit de gaz = 1.687 m3/h
- GOR = 140 m3/m3
- Pression en tête = 2.167 Psi

C’est la troisième découverte réalisée cette année en partenariat après celles de TEN-1 dans la bassin d’Illizi et SALI-1 dans le bassin de Reggane et constitue la septième découverte de l’année 2006.
En effet, durant l’année 2006, Sonatrach a réalisé quatre découvertes en effort propre suite au forage des puits HGAS, dans le bassin de d’Amguid Messaoud, AHMN-1 et AHM-1 dans le bassin Berkine et GLSW-1 dans le bassin de Oued Mya. communiqué de presse - Sonatrach

Sonatrach - Consortium Total E & P Algérie-Cepsa: Nouvelle découverte de gaz dans le bassin de Timimoun

L’association Sonatrach et le consortium Total E & P Algérie-Cepsa ont mis en évidence une découverte de gaz dans le bassin de Timimoun (bloc 325a-329) suite au forage du puits Hassi Mahdjib 3 (MJB-3).
Le test effectué dans le réservoir Emsien a donné sur duse 44/64’’ un débit de 235 000 m3/j de gaz avec une pression en tête de 1.004 Psi.
Ce résultat confirme l’important potentiel en hydrocarbures de la région Sud-Ouest de l’Algérie qui continuera à faire l’objet d’une importante activité d’exploration et de délinéation au cours de l’année 2006.
C’est la quatrième découverte réalisée en partenariat durant l’année en cours après notamment celles réalisées respectivement dans les bassins d’Illizi TEN-1, de Reggane SALI-1 et de Berkine LES-3 .
C’est la huitième découverte réalisée en Algérie en 2006.
De son côté, Sonatrach a réalisé quatre découvertes en effort propre suite au forage des puits HGAS, dans le bassin d’Amguid Messaoud, AHMN-1 et AHM-1 dans le bassin Berkine et GLSW-1 dans le bassin de Oued Mya. communiqué de presse - Sonatrach

mercredi 3 mai 2006

Plusieurs projets d’investissement émiratis en Algérie

La coopération entre l’Algérie et les Emirats Arabes Unis est en phase de connaître une nouvelle étape qui sera certainement plus dynamique. Réunie hier à Alger et présidée par le ministre des Finances, Mourad Medelci, et la ministre de l’Economie des EAU, Loubna Bent Khaled El Kacimi, la quatrième session de la commission mixte algéro-émiratie a été une occasion pour justement inviter la communauté des hommes d’affaires à traduire la volonté politique des deux Etats par des actes concrets. Il s’agira, ont affirmé les deux ministres, de renforcer les échanges commerciaux et surtout de profiter des opportunités d’investissements qu’offrent les marchés des deux pays. Mourad Medelci a expliqué, dans ce cadre, que l’Algérie offre aujourd’hui beaucoup d’occasions d’affaires à travers notamment le plan quinquennal de consolidation de la croissance. Un programme, rappelle-t-il, qui sera financé exclusivement par l’Etat et auquel le président de la République a consacré une enveloppe de plus de 80 milliards de dollars.

Les Emiratis, eux, sont à Alger avec des projets d’investissements déjà ficelés et qui n’attendent que la réalisation. Le ministre des Finances a révélé à la presse, en marge d’une rencontre d’hommes d’affaires des deux pays qui a eu également lieu hier, qu’effectivement d’importants investissements sont programmés dans plusieurs secteurs. Dans l’immobilier, indique Mourad Medelci, les Emiratis comptent investir dans les villes intelligentes du type Sidi Abdellah, la construction d’hôtels et des centres d’affaires. Dans l’industrie, le ministre annonce un projet en pétrochimie, les matériaux de construction et l’agroalimentaire. La coopération algéro-émiratie sera également renforcée par la réalisation d’une usine de médicament.

Le secteur des services où les EAU ont une grande expérience intéresse particulièrement les hommes d’affaires. En effet, le ministre des Finances a révélé que la première banque émiratie s’installera dans les prochaines semaines en Algérie. Elle n’attend que l’agrément de la Banque d’Algérie et qui lui sera délivré normalement avant la fin du mois en cours. Par ailleurs, une société de capital-risque verra le jour. Dans le secteur de la bourse, les deux pays concluront aujourd’hui un accord de coopération.

Enfin et de par leur grand savoir-faire en la matière, les Emirats Arabes Unis et l’Algérie travaillent sur des projets de coopération dans la gestion portuaire. A la lumière de ces offres, le ministre des Finances s’est dit convaincu qu’entre les deux pays «le meilleur est à venir».

Il est utile de savoir également qu’en plus du renforcement de la coopération et des échanges commerciaux - estimés à plus de 700 millions de dollars -, la réunion de la quatrième session de la commission algéro-émiratie a été consacrée, selon Medelci, à l’actualisation de certains accords conclus entre les deux pays. C’est le cas de celui du transport aérien.

Le ministre des Participations et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, qui a pris part à la rencontre des hommes d’affaires a mis l’accent sur le cadre macro-économique stable du marché algérien et les différentes réformes (douanes, impôts, banques...) engagées par le gouvernement. A cela s’ajoute, indique le MPPI, un vaste programme de privatisation qui touchera plus de 1.000 entreprises publiques activant dans tous les secteurs industriels. LE QUOTIDIEN D'ORAN

Algerie-EAU: Une banque commerciale émiratie agréée avant la fin du mois Mai.
Le ministre des Finances, M. Mourad Medelci, a annoncé qu’une banque commerciale des Emirats arabes Unis "obtiendra son agrément avant la fin du mois en cours" pour pouvoir s’installer en Algérie.
Dans une déclaration à la presse, M. Medelci a souligné que cette banque, dont le capital est à 100% émirati, débutera ses activités dès l’obtention de l’agrément de la part des autorités algériennes.
Le ministre a également annoncé la signature aujourd’hui, à l’issue des travaux de la commission, d’un accord de coopération entre la bourse d’Alger et son homologue émiratie.

Remboursement anticipé de la dette: réunion Algérie-Club de Paris le 10 mai
Alger - Une réunion entre l'Algérie et le Club de Paris se tiendra le 10 mai à Paris pour discuter du dispositif à mettre en place pour le remboursement par anticipation de la dette extérieure rééchelonnée de l'Algérie, a indiqué mardi à l'APS le ministre des Finances, Mourad Medelci, en marge d'une rencontre économique algéro-française. L'Algérie sera représentée à cette réunion par M. Medelci en tant qu'invité du Club de Paris pour discuter du remboursement de cette dette à hauteur de 8 milliards de dollars, sur un stock de 15,6 milliards de dollars représentant la totalité de la dette extérieure algérienne actuelle. APS

La ligne aérienne Alger-Montréal ne sera pas ouverte cet été

Alger - La compagnie nationale Air Algérie ne pourra pas ouvrir sa nouvelle desserte Alger-Montréal en juin prochain, comme elle l'avait récemment envisagé, après avoir été informée que "la délivrance de la licence d'exploitation est conditionnée par la conclusion d'un accord aérien entre l'Algérie et le Canada", a annoncé la compagnie dans un communiqué transmis mardi à l'APS. "Nous venons d'être informés que la délivrance de la licence d'exploitation est conditionnée par la conclusion d'un accord aérien entre l'Algérie et le Canada. Cette nouvelle situation remet en question le planning initial prévoyant l'ouverture de la ligne au mois de juin 2006", explique la Direction générale de la compagnie. APS

mardi 2 mai 2006

Le MEDEF à Alger pour renforcer la coopération algéro-française

ALGER (AP) - Une délégation de 70 membres du MEDEF, conduite par la présidente de l'organisation patronale française Laurence Parisot, est arrivée à Alger, mardi pour une visite de deux jours.

Les membres de la délégation, parmi lesquels 55 chefs d'entreprise des secteurs économiques tels que les banques, l'énergie, la construction, les services, l'industrie et l'agroalimentaire, rencontrent les principales autorités en charge des dossiers économiques et financiers, dont le ministre algérien des Finances, Mourad Medelci, et celui des Participations de l'Etat et de la promotion des investissements, Hamid Temmar, ainsi que des patrons algériens.
Ces contacts doivent permettre de développer les relations d'affaires entre les deux pays. C'est en tout cas la volonté exprimée par le président du comité Algérie du MEDEF, Yves-Thibault de Silguy, qui a appelé les entreprises françaises à "être plus présentes, plus audacieuses en Algérie".
Déjà, l'année 2005 a été marquée par une meilleure visibilité dans les échanges entre les deux pays, mais les flux d'investissements directs (IDE) sont jugés encore très insuffisants Alger.
Les échanges économiques globaux algéro-français ont augmenté de 13,6% pour les dix premiers mois de l'année 2005, par rapport à la même période de 2004. Ils ont été estimés à 7,47 milliards de dollars.
Mais une lecture de ces échanges montrent qu'ils restent relativement figés dans leur structure traditionnelle: les importations algériennes à partir du marché français se composent toujours de biens diversifiés, contre des importations françaises à plus de 95% de produits exclusivement liés aux hydrocarbures.
Les investissements français ne représentent que 4% du montant global des investissements étrangers en Algérie, selon les chiffres de l'Agence algérienne du développement des investissements (Andi).
Pourtant, l'Agence officielle française de promotion des entreprises françaises à l'étranger a noté "que les choses évoluent en Algérie, que la pression fiscale y est conforme aux normes internationales". Elle reconnaît néanmoins "qu'il y a une certaine frilosité" de la part des opérateurs français.
En outre, au-delà de ces aspects économiques, cette visite de la délégation du MEDEF intervient dans une conjoncture politique assez sensible entre les deux pays. AP